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Pourquoi la RSE peut-elle vous aider dans vos recrutements ?

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RSE, c’est le sigle pour Responsabilité Sociale (ou Sociétale) des Entreprises. Elle permet d’associer des concepts qui auraient pu paraître éloignés de prime abord : la rentabilité et l’impact positif. Elle s’applique à toutes les entreprises, du grand groupe à la start-up, et à tous les secteurs d’activités. Si la prise en compte de la RSE est d’abord bénéfique pour l’ensemble de la population, elle est aussi un levier efficace pour améliorer l’attractivité de votre entreprise. Les difficultés de recrutement n’épargnent personne. Certains métiers sont en tension et il peut être très difficile pour les recruteurs d’attirer les bons profils. Pourquoi la RSE peut-elle vous aider dans vos recrutements ? Nous vous proposons 5 raisons valables qui vont vous convaincre de mieux communiquer autour de vos actions à impact positif.

Recruteur (infodis) en Job Dating

Qu’est-ce que la responsabilité sociale des entreprises (RSE) ?

La RSE, c’est l’ensemble des actions mises en œuvre par les entreprises, par choix et par contrainte, pour mieux prendre en compte les enjeux environnementaux dans leurs pratiques quotidiennes

Par exemple : 

  • Mieux gérer la gestion des déchets produits par l’entreprise.
  • Faire appel à des partenaires locaux.
  • Passer à l’énergie renouvelable.
  • Se soucier du bien-être de ses collaborateurs.

Consciente que la RSE est l’affaire de tous, la Commission européenne a défini la RSE comme la responsabilité des entreprises vis-à-vis des effets qu’elles exercent sur la société (COM(2011)681 final).

Les effets visés peuvent être de différentes natures : 

  • Environnementaux. La RSE vient alors limiter la pollution, favoriser la biodiversité, maîtriser l’utilisation des ressources.
  • Sociaux. La RSE agit sur la QVCT, le climat social, l’inclusion, la diversité, la parité…
  • Éthiques. La RSE vise à prévenir la fraude et la corruption…
  • Économiques. La RSE pousse à soutenir l’économie locale, le circuit court…

Pour aider les entreprises à déployer une politique RSE, la norme internationale ISO 26000 propose 7 lignes directrices sur lesquelles s’appuyer : 

  1. La gouvernance de l’organisation.
  2. Les droits de l’Homme.
  3. Les relations et les conditions de travail.
  4. L’environnement.
  5. La loyauté des pratiques.
  6. Les questions relatives aux consommateurs.
  7. Les communautés et le développement local.

Toutes ces pistes ne sont pas nécessairement à exploiter en même temps. Elles peuvent faire l’objet de choix débattus et priorisés par les collaborateurs chargés de mettre en place la stratégie RSE de l’entreprise.

Bon à savoir : en France, le corpus législatif en matière de RSE se diversifie. Par exemple, la prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux est clairement mentionnée dans l’article 1833 du Code civil. L’article 1835 du même code donne la possibilité aux associés d’indiquer dans les statuts la raison d’être de leur entité. La loi Pacte du 22 mai 2019 a créé le statut d’entreprise à mission. 

À noter : pour vous assurer de toujours être en conformité avec la loi, le Gouvernement a lancé une plateforme numérique qui permet de connaître et de répondre facilement aux obligations RSE de votre entreprise portail-rse.gouv.fr.

1er raison : la RSE attire de nouveaux candidats

En déployant votre stratégie RSE, vous vous offrez l’opportunité de toucher une nouvelle cible de candidats, soucieuse des questions environnementales, sociales, éthiques et économiques.  

Vous attirez naturellement et plus facilement 2 types de profils : 

  • Les candidats qui souhaitent directement exercer un emploi à impact positif. La RSE est porteuse de nouveaux métiers qui exigent des compétences propres et un engagement fort : responsable RSE, chargé de missions RSE, juriste RSE, consultant… En vous ouvrant à de nouveaux métiers, vous allez attirer des profils en quête de carrières innovantes et soucieux d’apporter leur pierre à l’édifice environnemental.
  • Les candidats en phase avec votre politique RSE, qui souhaitent occuper un emploi dans l’entreprise. La RSE et les actions engagées font aujourd’hui partie des critères de prédilection des candidats dans le choix d’une entreprise plus qu’une autre. Au même titre que la localisation, le salaire ou les conditions de travail.

2e raison : la RSE contribue au rayonnement de votre marque employeur

La marque employeur, c’est l’image de votre entreprise. Ce qu’on dit sur elle. 

Elle ne doit pas être négligée car elle est un vecteur de recrutement pour le service des ressources humaines de l’entreprise. Plus elle est forte, plus elle suscite l’engouement et donc de candidatures. Elle vous permet de toucher des candidats qui n’avaient pas forcément prévu de changer d’employeur immédiatement.

Afficher votre prise en compte de l’impact environnemental et des actions concrètes déployées en interne pour y répondre ne peut être que bénéfique pour son rayonnement. On parle de vous, et en bien !

3e raison : la RSE témoigne d’une marque consciente des enjeux environnementaux actuels

Une entreprise engagée, consciente des défis à relever pour se transformer en entreprise durable, favorise la confiance des candidats en quête de sens au travail.

Une entreprise qui intègre la RSE dans son fonctionnement s’appuie sur un socle de valeurs qui trouve écho chez de nombreux candidats en quête d’employeurs responsables.

4e raison : la RSE fidélise les talents recrutés

Avec moins de départ dans l’entreprise, vos besoins en recrutement diminuent.

Votre démarche en matière de RSE fidélise les talents recrutés qui adhèrent automatiquement à la culture d’entreprise. En alliant la parole au geste, vous maintenez votre engagement et tenez vos promesses.

La RSE participe à la rétention de vos talents

5e raison : la RSE limite les erreurs de recrutement

Un recrutement raté coûte cher. Les ressources humaines de l’entreprise, ou le cabinet de recrutement, doivent reprendre le processus d’embauche de zéro : de la publication de l’offre d’emploi à l’onboarding du candidat dans l’entreprise.

En embauchant directement des candidats compatibles avec les valeurs défendues et portées par l’entreprise, vous évitez les erreurs de recrutement.

Comment communiquer sur ses actions RSE pour attirer plus de candidats ?

Mettre en place une démarche RSE, c’est bien. Le faire-savoir pour attirer, c’est encore mieux ! 

Donner de la notoriété à votre politique RSE permet de contribuer à la diffusion de vos bonnes pratiques :

  • En interne. Pour informer vos salariés de votre démarche autour de la responsabilité sociale des entreprises. 
  • Auprès du grand public. Pour piquer la curiosité des candidats en quête de leur prochaine expérience professionnelle, soucieux de travailler dans une entreprise dont les valeurs sont proches ou identiques.

Plusieurs canaux vous permettent de diffuser vos messages

  • Afficher les valeurs défendues et les actions menées dans vos offres d’emploi.
  • Relayer les événements RSE passés et à venir sur votre site internet corporate et sur les réseaux sociaux de l’entreprise.
  • Envoyer une newsletter à votre base.
  • Envoyer un communiqué dans la presse.

À vous de choisir le canal et le support qui convient le mieux à votre stratégie RSE et qui touchera le plus efficacement votre cible de candidats.

Veillez à toujours respecter une certaine ligne de conduite dans vos communications : 

  • Transparence sur vos actions.
  • Cohérence entre vos actes concrets et vos paroles.
  • Innovation pour transmettre vos messages et parler de votre travail.

À noter : attention au greenwashing. C’est-à-dire donner une image de marque responsable qui ne coïncide pas avec la réalité. Elle aurait un effet contre-productif, voire désastreux sur vos recrutements.

RSE, ce qu’il faut retenir pour mieux recruter

Travailler votre RSE, c’est l’assurance d’attirer et de retenir dans l’entreprise des talents qui seront associés à une image de marque positive, reconnue pour ses valeurs et ses actions responsables.

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7 conseils pour attirer les meilleurs talents dans votre entreprise

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En pleine guerre des talents, notamment pour certains métiers en tension, mieux vaut mettre en avant ses meilleurs atouts pour donner envie de vous rejoindre. Les entreprises élaborent des stratégies efficaces pour se démarquer du lot. Les candidats en quête de leur prochaine expérience professionnelle sont sensibles à certains gestes. Notamment, des étapes de recrutement raccourcies, des valeurs fortes, un management horizontal, des outils modernes ou une politique de formation développée. Nous vous proposons 7 conseils pour attirer les meilleurs talents dans votre entreprise.

Collègue qui aide une autre collègue (2)

1. Attirer les talents avec une marque employeur forte

La marque employeur, c’est la perception que les gens ont de vous. C’est en quelque sorte la vitrine de votre entreprise

Plus votre marque employeur est forte, meilleures seront vos chances de recruter des employés qualifiés et motivés dans votre entreprise. Une organisation qui bénéficie d’une image de marque positive attire plus facilement les talents. Plus besoin de rivaliser d’efforts pour vous constituer un vivier de candidats, ceux-ci viennent naturellement à vous.

Travailler l’attractivité de votre marque employeur est essentiel. Voici quelques pistes pour mettre en avant votre réputation et attirer plus de candidats : 

  • Affichez fièrement vos valeurs et votre raison d’être. De plus en plus de candidats sont sensibles aux démarches RSE, à la quête de sens au travail, à la flexibilité dans l’organisation du travail. Prenez en compte les nouvelles attentes des salariés pour qu’elles soient compatibles avec votre mode de fonctionnement.
  • Soyez cohérents dans vos actions avec celles-ci.
  • Relayez vos évènements sur votre site carrière et sur les réseaux sociaux de l’entreprise. Enrichissez-les de photos, de vidéos, d’interviews. La communication ne doit pas être négligée.
  • Soyez toujours transparent et authentique.
  • Travaillez votre identité visuelle et votre ton de marque.

Gardez toujours à l’esprit que les meilleurs ambassadeurs de votre marque employeur sont vos collaborateurs actuels. Si ceux-ci sont fiers et heureux de travailler pour vous, ils n’hésiteront pas à le dire autour d’eux ! 

2. Attirer les talents avec des offres d’emploi convaincantes

Comprendre les attentes des candidats est fondamental pour réussir à les motiver dès la lecture de vos offres d’emploi.

Veillez à ce que celles-ci soient complètes : 

  • Intitulé du poste.
  • Présentation de l’entreprise.
  • Lieu du travail.
  • Contrat proposé.
  • Missions principales et secondaires.
  • Profil recherché : niveau d’étude et expérience.
  • Compétences attendues : hard skills et soft skills.
  • Rattachement hiérarchique.
  • Outils utilisés.
  • Environnement de travail.
  • Date de début de contrat.
  • Rémunération ou fourchette de salaire.
  • Avantages divers. 
  • Étapes du processus de recrutement.

En fonction du secteur ou du métier recherché, adaptez toujours vos annonces d’emploi. Par exemple, dans le digital, les développeurs recherchent très souvent une grande flexibilité dans leur organisation quotidienne. Le télétravail est un point très important pour les convaincre de vous rejoindre. Tout comme l’offre de formation et la rémunération.

Vous pouvez aussi innover dans vos offres d’emploi en y ajoutant des photos ou des vidéos. Par exemple, en filmant des collaborateurs qui décrivent l’ambiance dans l’entreprise ou leurs missions. Ces outils digitaux permettent une meilleure projection sur le poste convoité et travaillent naturellement en faveur de votre marque employeur.

3. Diversifier vos canaux de recrutement pour attirer de nouveaux talents

L’offre d’emploi publiée sur le jobboard n’est plus la seule façon d’attirer des candidatures qualifiées. Même si elle est toujours utile !

En parallèle, vous devez occuper l’espace digital pour vous faire connaître : faites parler de vous sur les réseaux sociaux professionnels (contenus pertinents, photos, vidéos, interviews…) ! Vous étendrez votre réseau professionnel et donc votre vivier de candidats potentiels.

D’autres leviers pour sourcer vos candidats font aussi leur preuve : 

  • Job dating.
  • Cooptation.
  • Salon de l’emploi spécialisé.
  • Partenariat avec les écoles et les facultés.

Vos futurs employés ne se trouvent pas forcément là où vous les attendez de prime abord. C’est peut être en lisant un article publié sur LinkedIn ou en écoutant le témoignage d’un talent sur Instagram que votre prochaine recrue se situe.

4. Attirer les talents avec un processus de recrutement efficace

Les processus de recrutement proposés par les entreprises peuvent être longs et rebuter de nombreux candidats. Surtout ceux qui n’aspirent pas à changer de travail immédiatement ou ceux qui exercent un métier en tension.

Quelles sont les clés pour capter le plus grand nombre de candidats potentiels

  • Miser sur des étapes regroupées, plus courtes.
  • Proposer un processus entièrement transparent. Par exemple, affiché dès l’offre d’emploi.
  • Encourager les entretiens à distance, pour éviter les trop nombreux déplacements.

Selon les profils recherchés, notamment les tech, vous pouvez aussi proposer des formats novateurs comme le CV vidéo ou la gamification.

5. Onboarder les talents recrutés

L’onboarding, c’est l’intégration du candidat recruté dans l’entreprise. Il commence dès l’annonce de son embauche et il s’étend les premiers mois suivants son arrivée.

L’onboarding a pour objectif de faciliter la prise en main des process et des outils. Mais aussi de mieux comprendre l’organisation dans l’entreprise et les missions attendues.

Il peut prendre plusieurs formes : 

  • La désignation d’un parrain ou d’une marraine par le manager.
  • L’organisation de points avec quelques collaborateurs stratégiques.
  • L’invitation à des moments de vie conviviaux comme un petit-déjeuner d’équipe ou un séminaire d’entreprise.
  • La préparation d’un welcome pack.
  • La remise d’un livret d’accueil.
  • La mise à disposition de matériels (ordinateur, téléphone, badge d’accès…).
  • Ect.

L’onboarding, lorsqu’il est réussi, participe au succès d’un recrutement et à la rétention des talents. Un nouveau collaborateur bien intégré, c’est la quasi assurance qu’il ne rompra pas sa période d’essai. 

Notre conseil : la communication sur votre onboarding est importante. Les candidats sont observateurs et jugent le traitement qui leur sera réservé. Un bon onboarding est facteur d’attractivité : il convaincra plus facilement les candidats hésitants.

6. Attirer les talents en valorisant l’expérience collaborateur

L’expérience vécue par les salariés de l’entreprise rayonne dans le monde professionnel. Si elle est positive, l’image de votre entreprise s’en trouve valorisée et devient donc un facteur d’attractivité.

L’expérience collaborateur est très large. Elle couvre l’onboarding, mais aussi le quotidien dans l’entreprise, le rythme de travail, la politique de rémunération, le management, l’offre de formation, les possibilités d’évolution, etc.

Un salarié heureux et épanoui : 

  • Est généralement performant. 
  • Ne démissionne pas (rétention du talent) pour aller voir les entreprises concurrentes.
  • Le dit autour de lui.
  • Donne envie aux autres de postuler.

En d’autres termes, une fois recrutés, veillez à toujours donner à vos salariés l’envie de travailler pour vous.

7. Former ses collaborateurs

La formation continue est un formidable moyen pour attirer et fidéliser de nombreux collaborateurs

  • Elle vous permet de former des candidats qui ne conviennent pas totalement sur un poste. On parle de reskilling. La motivation est le facteur premier qui doit guider votre embauche.
  • Elle vous permet de travailler l’employabilité des salariés en étoffant leur panel de compétences. On parle d’upskilling.
  • Elle vous permet de miser sur la reconversion en interne de bons éléments qui aspirent à une autre carrière.

Avec la formation continue, l’entreprise se constitue un vivier de talents en devenir, déjà présent en interne. Cerise sur le gâteau, vous véhiculez une image de marque forte dont la culture est de faire grandir ses talents ! De quoi donner envie à de nombreux candidats de répondre à vos annonces d’emploi.

Notre conseil : travaillez sur le plan de développement des compétences et n’hésitez pas à proposer des formations aux salariés prometteurs. 

Attirer les talents, ce qu’il faut retenir

Pour pourvoir les postes vacants dans l’entreprise, le service des ressources humaines dispose de leviers performants à actionner : 

  1. Travailler la marque employeur tout au long de l’année.
  2. Apporter un soin tout particulier à la rédaction des offres d’emploi.
  3. Se constituer un vivier de candidats potentiels.
  4. Moderniser le processus de recrutement.
  5. Préparer un onboarding efficace.
  6. Miser sur l’expérience collaborateur.
  7. Enrichir son offre de formation continue.

La mise en place d’une stratégie pour que l’entreprise demeure attractive est fondamentale.

Bonne chasse ! 

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Comment former les collaborateurs de l’entreprise à SAP ?

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La transformation digitale est au cœur des priorités de nombreuses entités. Les outils digitaux permettent aujourd’hui d’optimiser les processus internes. SAP propose de nombreux logiciels ERP quasi incontournables. Leurs fonctionnalités sont nombreuses. Comment former les collaborateurs de l’entreprise à SAP ? Quelles formations choisir ? Découvrez nos réponses et les nombreux avantages que vous trouverez à opter pour la voie de l’upskilling.

Recruteur écoute les remarques pendant la soutenance

Une formation SAP, c’est quoi ?

Ce sont des enseignements dont le contenu permet d’acquérir des compétences sur l’un des plus importants éditeurs de logiciel : SAP.

Les salariés d’une entreprise peuvent bénéficier d’une formation SAP, qu’ils soient débutants ou déjà expérimentés.

SAP propose des solutions ERP indispensables.

L’ERP, Enterprise Resource Planning, est un système d’information qui permet aux entreprises en pleine transformation digitale de mieux gérer une même base de données tout en proposant divers modules adaptés à plusieurs services

  • Les ressources humaines (RH).
  • La finance.
  • La logistique.
  • Les achats.
  • Ect.

Bon à savoir : SAP vient de l’allemand Systemanalyse Programmentwicklung. Littéralement, ces termes peuvent se traduire par développement de programmes d’analyse de système. 

Pourquoi proposer une formation SAP à ses salariés ?

Proposer une formation SAP à vos collaborateurs, c’est vous assurer qu’ils seront rapidement opérationnels pour utiliser et tirer profits de tous les avantages des progiciels développés par SAP. Que ceux-ci soient déjà mis en place dans l’organisation, ou qu’ils soient en cours de déploiement.

En mettant en place une campagne de formation SAP, vos ressources qualifiées sont internalisées, prêtes à déployer de manière autonome et efficace toutes les fonctionnalités des ERP de SAP. 

L’entreprise est gagnante : 

Bon à savoir : on parle d’upskilling lorsque l’entreprise renforce les compétences existantes d’un collaborateur par la formation continue pour lui permettre de se spécialiser sur son métier ou de faire face aux évolutions de son domaine d’activité. L’upskilling est parfaitement adaptée aux ERP de SAP 

Quelles sont les meilleures formations SAP disponibles ?

La grande force de SAP est de pouvoir s’adapter aux différents processus de tous les services de l’entreprise. Un module ERP est dédié à un domaine d’activité particulier. Il existe autant de modules que d’activités.

Par exemple : 

  • L’ERP finance aide à la clôture des comptes de l’entreprise.
  • L’ERP logistique permet de fournir aux clients les bonnes commandes dans le temps imparti.
  • L’ERP dédié aux instances dirigeantes donne une vue d’ensemble sur la santé financière et les performances de l’entreprise.

Former directement les talents de l’entreprise aux ERP proposés par SAP et utilisés en interne est la stratégie gagnante. 

Fitec, organisme de formation reconnu, vous propose 5 formations SAP

Leurs principaux atouts : 

  • Des formations de 90 heures, qui s’étalent sur 3 mois maximum.
  • Plusieurs sessions ouvertes dans l’année.
  • Des formations à distance.
  • Une plateforme de cours en ligne accessible 24h/24 et 7j/7 durant les 3 mois (Learning Up de SAP).
  • L’accompagnement d’un tuteur Fitec tout au long de la formation, expérimenté et certifié dans les solutions SAP depuis 20 ans.
  • Des formations reconnues par SAP.
  • Des formations pour tous les niveaux, du débutant au cours de perfectionnement.

Formation SAP Finance

La formation SAP End User Finance livre à vos salariés l’essentiel à savoir pour une rapide montée en compétences sur la gestion comptable et fiscale de l’outil SAP/4HANA.

Elle intègre les grands principes de la comptabilité générale, des comptabilités clients ou fournisseurs. Mais aussi des comptabilités bancaires ou des immobilisations.

Les fonctionnalités principales de l’ERP seront maîtrisées : 

  • Saisi et gestion des opérations financières et comptables.
  • Génération de rapports financiers.

Les certifications officielles délivrées : 

  •  SAP : UC_FIS42021.
  •  RNCP 36522B01.

Formation SAP Vente

La formation SAP End-User Vente permet à vos talents de mieux suivre les ventes dans le logiciel SAP/4HANA.

Après 3 mois de cours, vous disposerez de personnes aptent à manier les grandes fonctionnalités du module Vente au quotidien de SAP : 

  • Saisir et gérer des informations de vente.
  • Traiter les commandes.
  • Gérer les devis, les factures, le SAV.
  • Analyser les KPI.

Les certifications officielles délivrées : 

  •  SAP : UC_SDS42021.
  •  RNCP 35663BC03.

Formation SAP Achats

La formation SAP End-User Achat livre à vos salariés les compétences nécessaires pour gérer efficacement les achats, le suivi des approvisionnements et évaluer leur performance dans le système SAP S/4HANA.

Elle vise plus spécifiquement les services Achat et Logistique de votre entité.

Les certifications officielles délivrées : 

  •  SAP : UC_MMS42021.
  •  RNCP 35462BC04.

Formations aux métiers du consulting en ERP

Vous souhaitez aider à la reconversion professionnelle de l’un de vos salariés ? Vous souhaitez accroître les compétences de ceux qui évoluent déjà dans l’écosystème des ERP ? 

Le rôle du consultant SAP est fondamental pour : 

  • Définir et piloter la stratégie de déploiement des outils digitaux adaptés aux besoins de votre organisation. 
  • Mettre en place SAP au travers des fonctionnalités recherchées.

Proposez à vos salariés prometteurs l’une des 2 formations de consultants en ERP proposées par Fitec : 

Comment financer les formations SAP de ses salariés ?

Plusieurs solutions de financement existent pour vous permettre de proposer des formations adaptées à vos salariés.

Notamment :

  • Le plan de développement des compétences : les formations sont financées par le budget formation prévu dans l’entreprise.
  • Le CPF co-construit.
  • Le dispositif TransCo.

Renseignez-vous directement auprès de Fitec pour étudier ensemble le meilleur plan de financement.

Bon à savoir : le prix d’une formation varie selon plusieurs paramètres.

Formation SAP, ce qu’il faut retenir 

Vous serez toujours gagnant à disposer de talents performants formés aux outils digitaux. 

SAP fait partie des leaders mondiaux en logiciels ERP. Le secteur est en plein essor, les métiers sont porteurs, et la valeur ajoutée d’experts SAP vous permet de rester compétitif dans un environnement en constante évolution. 

À l’issue des heures de formation, votre salarié sera en mesure de prendre rapidement en main les solutions SAP.

Misez sur l’upskilling, vous ne le regretterez pas ! 

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Comment former en interne vos futurs talents en cybersécurité ?

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Vous faites face à une pénurie de compétences en cybersécurité ? Recruter dans ce domaine est un challenge quotidien pour les équipes RH. Peu de profils sont disponibles face à une demande toujours plus forte. Les raisons sont simples : avec la transformation digitale des organisations, la question de la sécurité est devenue incontournable. Pour y répondre, de nouveaux métiers ont émergé. Les jeunes diplômés sortent peu à peu des formations initiales, mais ils ne sont pas assez nombreux pour occuper tous les postes vacants. Pourtant, les enjeux sont importants pour les entreprises. Les profils d’experts sont rares et les employeurs redoublent d’ingéniosité pour les attirer. Avez-vous pensé à l’upskilling des collaborateurs ? La formation continue permet aux entreprises de disposer de talents répondant à vos besoins et disponibles immédiatement. Comment former en interne vos futurs talents en cybersécurité ? Découvrez nos solutions.

Deux collègues heureux

1. Proposer une formation cybersécurité aux salariés présentant les appétences nécessaires

La formation professionnelle est la solution qui s’offre à vous pour disposer rapidement d’experts en cybersécurité.

Formation cybersécurité et plan de développement des compétences

À la différence de la formation initiale qui précède l’entrée sur le marché du travail, la formation continue à vocation à former les salariés au cours de leur parcours professionnel. 

L’objectif est de leur permettre d’opérer une montée en compétences

  • Verticale : en visant un poste hiérarchiquement supérieur.
  • Horizontale : en élargissant leur champ d’action.

On parle aussi d’upskilling. Ce qui signifie, renforcer les compétences existantes pour viser de nouvelles perspectives professionnelles au sein de son organisation.

Il est aussi possible d’envisager une formation dans le cadre d’une reconversion professionnelle, en interne. Elle vise tous les collaborateurs désireux de prendre un virage professionnel à 360°. On parle également de reskilling

Pour maintenir les hard skills et les soft skills de vos talents au meilleur niveau, vous êtes légalement contraint de mettre en place un plan de développement des compétences (ex plan de formation). 

À ce titre, vous pouvez proposer aux collaborateurs qui disposent des aptitudes nécessaires une formation en cybersécurité. Celle-ci doit aboutir sur un diplôme et disposer d’une certification reconnue par l’État. 

Après leur accord et à l’issue des cours, ils prendront directement en charge les questions de cybersécurité dans l’entreprise. Vous n’aurez plus besoin de recruter en externe.

Notre conseil : appuyez-vous sur les entretiens de fin d’année, ou de début d’année, pour élaborer les plans de développement des compétences. Ces entrevues sont un excellent moyen de faire coïncider les souhaits d’évolution de vos salariés avec vos objectifs de développement professionnel.

Bon à savoir : sans que cela ne constitue une faute, votre collaborateur peut refuser cette action de formation non obligatoire. C’est-à-dire qui ne figure pas au titre des formations exigées par ses fonctions actuelles.

À noter : dans le cadre du plan de développement des compétences, si la formation en cybersécurité est suivie pendant le temps de travail de votre collaborateur, sa rémunération est maintenue.

Formation cybersécurité et reconversion ou promotion par alternance (Pro-A)

La reconversion ou promotion par alternance permet aux collaborateurs qui souhaitent changer de métier ou évoluer dans leurs fonctions de se tourner vers les métiers de la cybersécurité. L’ambition doit être commune entre l’employeur et le collaborateur.

C’est la formation par alternance qui est ici privilégiée. 

À noter : la formation cybersécurité en alternance suivie pendant le temps de travail donne lieu au maintien de la rémunération du salarié.

2. Chercher une formation en cybersécurité qui répond aux attentes de l’entreprise

Votre défi pour disposer d’experts en cybersécurité ? Trouver les bonnes formations qui répondent parfaitement à tous vos besoins internes et à vos enjeux en cybersécurité.

Pour vous faciliter la tâche, de nombreux organismes de formation de qualité proposent des modules d’enseignement adaptés aux salariés en poste. Vous devez être vigilant quant à la certification délivrée avec la formation.

Fitec est l’un d’entre eux. D’une durée de 3 mois (399 heures), la formation analyste cybersécurité a de solides objectifs pédagogiques : 

  • Réaliser des audits.
  • Analyser les risques de cybermenace et de cyberattaque.
  • Piloter la stratégie cybersécurité.
  • Choisir les outils adaptés à l’entreprise.
  • Maîtriser les aspects réglementaires concernant la sécurité des données personnelles.
  • Mettre en place et piloter un dispositif de gestion de crise.
  • Déployer et configurer des solutions défensives.
  • Opérer une veille.

À distance, en présentiel, au sein de l’entreprise ou au sein du campus Fitec, vous avez le choix.

Le petit plus de Fitec ? Les experts en formation travaillent avec vous pour comprendre vos attentes de la formation en cybersécurité et conçoivent ainsi des cours personnalisés pour être au plus près possible de vos besoins.

Bon à savoir : Fitec délivre de nombreuses certifications pour que vos salariés soient reconnus analystes en cybersécurité (notamment, la certification RNCP Data Engineer de niveau 7 (bac+5)).

3. Financer les formations en cybersécurité

Les frais de formation en cybersécurité sont à la charge de l’employeur. C’est donc vous qui devrez supporter le coût de cet investissement.

Si l’effort financier est réel, il est à mettre en perspective avec le coût d’un recrutement d’un nouveau talent pour occuper les fonctions vacantes. Le prix de la formation continue apparaît alors bien moindre. Cerise sur le gâteau, vous connaissez votre salarié : son potentiel, sa motivation, ses ambitions et sa disponibilité immédiate une fois diplômé.

Bon à savoir : les entreprises peuvent solliciter des aides pour financer les formations auprès des OPCO (OPérateurs de COmpétences). Ceux-ci prennent en charge, selon des critères de financement établis, les actions prévues au titre de Pro-A ou du plan de développement des compétences. Rapprochez-vous de votre OPCO le plus proche pour obtenir une information fiable et complète.

À noter : les salariés peuvent également mobiliser leur CPF.

Quels sont les métiers de la cybersécurité accessibles par une formation ?

Ils sont nombreux et évoluent constamment au gré des avancées technologiques.

Voici une liste non exhaustive des métiers porteurs dans le domaine de la cybersécurité : 

  • Analyste cybersécurité : il est chargé de surveiller, d’analyser et de répondre aux menaces de sécurité informatique.
  • Expert en sécurité des réseaux : il conçoit, met en œuvre et maintient en bon état de fonctionnement les infrastructures de sécurité des réseaux.
  • Ingénieur en sécurité informatique : il conçoit, met en œuvre et maintient les systèmes de sécurité informatique de l’entreprise.
  • Consultant cybersécurité : il livre des conseils et des recommandations aux entreprises sur les meilleures pratiques en matière de sécurité informatique.
  • Architecte de sécurité des systèmes : il conçoit l’architecture des systèmes de sécurité pour assurer une protection efficace des données et des infrastructures.
  • Analyste en cyber renseignement : il collecte, analyse et interprète les données pour identifier et lutter contre les menaces potentielles à la sécurité informatique.
  • Expert en tests de pénétration (pentesteur) : il réalise des tests d’intrusion pour identifier les vulnérabilités des systèmes et des réseaux.
  • Analyste en sécurité des données : il protège les données sensibles de l’entreprise en surveillant, analysant et sécurisant les informations.

Formation cybersécurité, ce qu’il faut retenir 

En France et partout dans le monde, la cybersécurité est un point crucial pour toutes les entreprises. 

Les métiers de la cybersécurité sont en forte demande. Cette tendance s’explique par la croissance continue des cybermenaces et la nécessité pour les entreprises de protéger leurs données et leurs infrastructures.

La cybersécurité exige des compétences pointues en informatique accessibles par le biais de formations spécifiques.

Former ses propres talents, c’est l’assurance de disposer de ressources motivées, compétentes et immédiatement disponibles ! 

Fitec propose une formation cybersécurité de haut niveau, adaptable à vos besoins. À l’issue des cours, votre talent diplômé possèdera les compétences techniques et les compétences comportementales nécessaires pour lutter contre toutes les cybermenaces.

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Faut-il former ses collaborateurs à la data visualisation ?

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Vous vous interrogez sur la nécessité de former vos talents à la data visualisation ? Le monde des affaires n’est pas épargné par la digitalisation des processus. Le grand nombre de données brassées par les entreprises impose de compter dans ses effectifs des équipes capables de les récolter, de les stocker, de les exploiter et de les sécuriser. La data visualisation est l’une des techniques permettant de restituer les data de manière intelligible et compréhensible par tous. Qu’est-ce qu’une formation data visualisation ? Pourquoi former vos salariés ? Quels sont les métiers en lien avec la data visualisation ? Combien ça coûte de former ses talents ? Qui propose ce type de formation ? Toutes nos réponses dans cet article.

Manager qui donne des explications à son équipe

Formation data visualisation, ça veut dire quoi ?

Pour choisir la bonne formation data visualisation et disposer de collaborateurs aptes à mettre en œuvre les compétences acquises, il est important de bien maîtriser la définition de la data visualisation.

Qu’est-ce que la data visualisation ?

La data visualisation, visualisation des données en français, est une technique permettant de mieux lire des données recueillies. Elle a toute sa place dans le monde du Big data.

Elle est une branche de la data science. Le stockage des données, l’ingénierie des données ou le machine learning en sont d’autres.

La data visualisation consiste à utiliser des éléments visuels afin de traduire un gros volume de données brutes en langage compréhensible. Autrement dit, elle rend intelligible des data qui ne le sont pas initialement.

La dataviz comprend 3 tâches principales : 

  1. La collecte des données brutes à partir de plusieurs sources (CRM, réseaux sociaux, Google…). 
  2. Le traitement des données (tri, hiérarchisation, suppression).
  3. La représentation visuelle intelligible. 

En data visualisation, la représentation visuelle des données peut prendre différentes formes : 

  • Des cartes.
  • Des graphiques.
  • Des diagrammes.
  • Des tableaux.

L’objectif est donc de traduire des feuilles de données indigestes en une représentation assimilable facilement par le cerveau humain.

Bon à savoir : la data visualisation est parfois abrégée en dataviz.

Qui est impacté par la data visualisation ?

Toutes les tailles d’entreprises, tous les secteurs d’activités, tous les services d’une organisation et de nombreux métiers sont concernés par l’exploitation de data.

La dataviz trouve sa place dans toute entité qui a initié sa transformation digitale. D’où la nécessité impérieuse de disposer de talents formés sur la technique de data visualisation.

Voici quelques exemples dans lesquels la data visualisation a toute sa place : 

  • Les métiers du secteur commercial : la data récoltée dans un CRM Salesforce doit permettre de mieux connaître ses clients pour leur proposer l’offre dont ils ont besoin. La dataviz améliore la relation avec le client.
  • Les métiers du marketing : la data interprétée permet de mieux connaître ses cibles et ainsi de leur faire parvenir des messages pertinents. La dataviz améliore les campagnes marketing.
  • Les métiers de la finance : les données disponibles et interprétées permettent de suivre les performances globales de l’entreprise, mais aussi service par service. La dataviz améliore les résultats financiers de l’entreprise par la prise de décisions opportunes.

À quoi sert une formation en data visualisation ?

Une bonne formation en data visualisation doit transmettre toutes les compétences techniques (hard skills) et toutes les compétences comportementales nécessaires (soft skills) pour que le collaborateur spécialisé en dataviz excelle sur les missions confiées.

Par exemple : 

  • Savoir quelle forme de représentation choisir selon le type de données.
  • Connaître les bases de la sémiologie de l’image.
  • Connaître les fondamentaux du design graphique.
  • Maîtriser les outils de représentation visuelle.

Concrètement, la formation doit permettre à la personne qui suit les cours de réaliser des data visualisations pertinentes en choisissant la bonne représentation graphique grâce à des connaissances sur les principes visuels et cognitifs essentiels.

Elle forme également les talents au maniement d’outils de data visualisation comme Power BI (Microsoft), Tableau Software (Salesforce) ou Looker Studio (Google).

Bon à savoir : il existe des formations en data visualisation exclusivement. Cependant, pour élargir sa palette de compétences et viser des métiers dont les missions plus variées englobent la dataviz, certaines formations, comme celles de data analyst ou de data scientist, intègrent les connaissances essentielles en dataviz.

Pourquoi former ses équipes à la data visualisation ?

La transformation digitale des entreprises a pour effet de brasser un nombre faramineux de data. Cette matière, dès lors qu’elle est correctement exploitée, facilite la prise de bonnes décisions stratégiques.

Chaque organisation doit donc disposer de talents formés en data visualisation pour prendre en charge cette tâche capitale : transformer l’indéchiffrable en un message clair et limpide au plus grand nombre.

Ses enjeux sont très importants : de la bonne compréhension des informations recueillies, traduites puis analysées découlent des décisions stratégiques pour la croissance et la pérennité de l’entreprise.

Quels sont les métiers porteurs de la data visualisation ?

Voici les emplois indispensables au maniement des données dans l’entreprise. 

Le consultant en data visualisation. Il est LE spécialiste de la data visualisation. Il manipule les data avec brio et sait parfaitement les retranscrire visuellement. Il met ses représentations visuelles au service d’une stratégie de business intelligence (BI) plus globale pour apporter aux instances dirigeantes l’information la plus pertinente au bon moment.

Le data analyst. Il analyse les données existantes et les rend compréhensibles par tous.

Le data scientist. Il conçoit des modèles techniques pour réaliser des prédictions. Plus précisément, il développe des modèles mathématiques ou des algorithmes d’apprentissage automatique afin de collecter des grandes masses de données.

Le data engineer. Il conçoit, teste et maintient une architecture technique fiable pour collecter et stocker des données brutes prêtes à l’emploi pour des data scientist et les data analyst.

Chacun de ces métiers utilise la data visualisation pour accomplir ses missions.

Quelle formation data visualisation proposer à ses collaborateurs ?

En fonction des missions que vous souhaitez confier à vos talents, plusieurs formations sont proposées sur le marché.

Fitec est un organisme de formation qui propose des formations continues courtes et certifiantes d’une durée de 3 mois (399 heures) sur les métiers de l’IT et du digital. Celles-ci peuvent être personnalisées en fonction de vos problématiques spécifiques.

Les cours proposés délivrent les compétences essentielles pour maîtriser les outils et les techniques de datavisualisation.

À distance, en présentiel, au sein de l’entreprise ou au sein du campus Fitec, les formations disponibles s’adaptent à vos besoins.

Vous souhaitez faire monter en compétences vos collaborateurs et les former à la data visualisation ? Fitec vous propose les formations suivantes : 

Bon à savoir : la formation data visualisation peut s’intégrer dans le plan de développement des compétences de vos salariés.

Quel est le prix d’une formation data visualisation ?

Le prix d’une formation dépend de nombreux paramètres. Chaque entreprise est unique et les formations doivent être adaptées à ses besoins spécifiques. 

Vous souhaitez en savoir plus sur les formations Fitec, leur prix et les modalités de financement pour former vos talents ? Les équipes sont à votre disposition pour répondre à toutes vos questions.

Formation data visualisation, ce qu’il faut retenir 

Investir dans la formation en data visualisation de ses collaborateurs est primordial dans une ère 100 % digitale. 

La maîtrise de la technique dataviz permet aux talents de mieux communiquer sur les données collectées en maniant des outils adaptés. Ce qui vous permet in fine de prendre les meilleures décisions possibles pour la pérennité de votre organisation.

Miser sur l’upskilling en formant ses propres salariés est judicieux. La main-d’œuvre qualifiée est de plus en plus difficile à recruter. Mieux vaut alors posséder en interne les compétences clés en data visualisation.

De nombreuses formations sont disponibles sur le marché. Renseignez-vous auprès d’organismes sérieux, qui délivrent une certification reconnue.

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3 raisons de former vos talents à Salesforce

Date :

Le constat est sans appel : de plus en plus d’entreprises adoptent la technologie Salesforce pour les aider à gérer les relations avec leurs clients. Par l’effet des vases communicants, la demande de candidats dotés de compétences Salesforce a fortement augmenté. Former vos équipes à cette technologie est donc fondamental pour garantir votre compétitivité. Mais aussi pour disposer rapidement de ressources internes capables de manier cet outil incontournable. Si vous hésitez encore à proposer une formation Salesforce à vos collaborateurs, les 3 arguments exposés ci-dessous vont vous convaincre de franchir le pas sans jamais le regretter.

Apprenant très attentif

Une formation Salesforce, c’est quoi ?

Ce sont des enseignements théoriques et pratiques pour livrer aux personnes intéressées les compétences nécessaires pour manier efficacement un CRM Salesforce.

Ces formations peuvent être proposées par Salesforce directement. Mais aussi par des organismes de formation comme Fitec.

Fitec propose une Formation Consultant CRM Salesforce

  • D’une durée de 3 mois (399 heures).
  • Certifications reconnues.
  • En présentiel et/ou à distance.
  • Alternant des cours théoriques et des travaux pratiques.

À l’issue des enseignements dispensés, votre collaborateur sera en mesure : 

  • De définir et de piloter le choix et la mise en place d’une solution informatique adaptée à votre organisation.
  • D’effectuer une analyse des besoins fonctionnels.
  • D’implémenter la solution CRM Salesforce en adéquation avec les flux métiers.

Cette formation peut s’inscrire dans le plan de développement des compétences de l’entreprise. Elle peut aussi être suivie par le salarié, à sa demande et avec votre accord. Elle est finançable par son CPF.

Vous souhaitez en savoir plus sur les formations Fitec et les modalités de financement pour former vos talents ? Les équipes sont à votre disposition pour vous accompagner dans vos projets de formation et de recrutement sur des compétences en digital et IT, en tension.

1. La formation Salesforce permet d’apprendre à manier un outil incontournable : le CRM

Salesforce est un CRM très utilisé par les entreprises du monde entier. Plus largement, le CRM est aujourd’hui au cœur du fonctionnement des entreprises

Pour que votre entreprise reste compétitive et joue à armes égales avec vos concurrents, vos collaborateurs doivent être formés à l’utilisation de cet outil.

Qu’est-ce qu’un CRM ?

Le CRM (Customer Relationship Management en anglais) est un outil de gestion de la relation commerciale entre une entreprise et ses clients, acquis ou potentiels. 

Il englobe tout le cycle de vie du client : de l’acquisition du client à sa perte.

À quoi sert le CRM ?

Pour entretenir des relations commerciales de qualité, les forces de vente doivent acquérir une bonne connaissance de leurs clients. 

C’est ainsi l’utilité première du CRM : améliorer les relations commerciales pour accompagner une entreprise dans sa croissance.

En un seul endroit, cet outil permet de : 

  • Récolter des data.
  • Stocker durablement des données précises sur la clientèle. 
  • Accompagner la relation client.
  • Analyser des indicateurs de performance clés (KPI).
  • Prendre des décisions stratégiques pour l’entreprise.
  • Offrir une expérience client personnalisée et réactive.
  • Aider les commerciaux dans la négociation commerciale.

Chaque collaborateur de l’entreprise dispose alors de la même vision 360° des clients.

Qu’est-ce que le CRM Salesforce ?

Salesforce est une plateforme de gestion de la relation client (CRM).

C’est un logiciel Saas, développé et commercialisé par un tiers sous forme d’abonnement, accessible via le cloud. Ainsi, les utilisateurs peuvent accéder à Salesforce à n’importe quel moment, de n’importe où et de n’importe quel appareil, à condition de disposer d’une connexion internet. 

Le CRM Salesforce offre une gamme de services qui répond aux besoins de différents services dans l’entreprise pour donner aux clients la meilleure expérience possible : 

  • Le service commercial : 
    • Il permet un meilleur suivi de la relation avec la clientèle.
    • Il améliore la qualité de la relation commerciale.
    • Il aide à la négociation commerciale.
    • Il crée une expérience sur-mesure avec le client.
  • Le service marketing : il crée des messages marketing pertinents pour cibler les bons prospects.
  • Le service client : il personnalise et améliore la qualité de la réponse apportée. 

Chaque entreprise peut choisir d’ajouter ou de supprimer des fonctionnalités pour adapter leur abonnement à leurs besoins réels (tableaux de bord, reporting, messages personnalisés, formulaires…). 

La grande force du CRM Salesforce est de briser les silos entre les équipes, en les faisant toutes interagir sur un unique outil. Le CRM encourage l’esprit collaboratif

Bon à savoir : Salesforce possède le plus vaste écosystème de partenaires d’entreprises techniques au monde. Investir dans une formation Salesforce est un véritable gage de compétitivité. 

2. La formation Salesforce développe les compétences de ses collaborateurs

Sur le marché de l’emploi, la demande de talents qualifiés pour Salesforce a le vent en poupe. Pour certains emplois, le recrutement est en tension. 

L’upskilling est alors la meilleure des options pour s’éviter des difficultés d’embauche, maintenir sa compétitivité et fidéliser les salariés de l’entreprise. 

Le préfixe up signifie montée et le suffixe skill compétence. L’upskilling désigne alors le renforcement des compétences existantes d’un collaborateur pour lui permettre de se spécialiser sur son emploi, d’étendre ses missions ou de faire face aux évolutions de son domaine d’activité.

La formation continue est le vecteur idéal pour faire acquérir aux salariés les compétences Salesforce nécessaires au fonctionnement de votre activité.

L’écosystème Salesforce est très développé. Plusieurs métiers sont accessibles avec une formation Salesforce : 

Mais aussi tous les secteurs et les emplois qui manient un CRM : le service client, le service commercial, la vente, l’après-vente, le marketing.

Miser sur l’upskilling en proposant une formation Salesforce de qualité est tout à votre avantage. Elle est une chance supplémentaire d’obtenir une main d’œuvre opérationnelle et disponible au sein même de votre entreprise.

3. La formation Salesforce permet de développer une approche customer centric

Pour attirer puis fidéliser votre clientèle, celle-ci doit être au centre des préoccupations de l’entreprise. On parle de stratégie customer centric.

Proposer une expérience qualitative au client en adéquation avec ses besoins est primordial pour l’attirer puis le conserver. Un client fidèle est un client écouté.

C’est donc l’entreprise qui s’adapte à sa cible, et non l’inverse, pour lui proposer des services et des produits adaptés. Mais aussi pour lui fournir une expérience fluide et agréable tout au long de la relation. 

Pour comprendre le client, le CRM Salesforce est l’outil idéal : il centralise toutes les interactions avec celui-ci. Il contient donc une mine d’informations que vous pouvez exploiter.

Les data analysées permettent : 

  • D’améliorer les produits et les services déjà sur le marché.
  • D’envisager d’en créer de nouveaux.
  • De répondre aux points de douleurs actuels.
  • De fluidifier les points de contact entre l’entreprise et le client.

En formant vos talents au CRM Salesforce vous vous donnez toutes les chances de mieux satisfaire vos clients, et donc d’améliorer votre chiffre d’affaires.

Formation salesforce, ce qu’il faut retenir 

L’utilisation du CRM Salesforce est devenue incontournable pour toutes les entités qui développent une stratégie customer centric.

Dénicher les talents qui manient avec brio cet outil peut relever du parcours du combattant. Pour s’éviter des difficultés de recrutement, la formation continue des collaborateurs – l’upskilling – est alors la meilleure solution pour bénéficier d’une main-d’œuvre disponible et compétente.

Proposer une formation Salesforce à vos collaborateurs est un investissement stratégique qui peut : 

  • Stimuler la productivité.
  • Améliorer la qualité de la relation client.
  • Renforcer la satisfaction des collaborateurs et les retenir plus longtemps chez vous (rétention de talents).
  • En fin de compte, contribuer à la croissance et au succès de votre entreprise.

Un processus gagnant-gagnant !

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Pourquoi choisir les métiers du développement informatique ?

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Les métiers du développement informatique vous attirent ? Vous hésitez à vous reconvertir ? Une chose est sûre, vous ne le regretterez pas. Les fonctions IT et digitales demeurent clés pour l’évolution des produits et la croissance des entreprises. La tension est toujours accrue sur le recrutement de ces profils très recherchés. Les employeurs peinent à trouver des experts informatiques. Les offres d’emploi sont donc très nombreuses. Vous n’aurez aucun mal à trouver un job dans ce secteur. Pourquoi choisir les métiers du développement informatique ? Découvrez 8 bonnes raisons de vous lancer.

Stagiaire à l'écoute du formateur

C’est quoi le développement informatique ?

Le développement informatique c’est le processus de conception et de maintenance de programmes informatiques, de logiciels, d’applications ou de sites internet.

La conception implique : 

  • L’analyse des besoins du client.
  • La conception d’algorithmes.
  • L’écriture du code, dans un langage de programmation approprié (Java, Python, R…). On parle aussi d’implémentation.
  • Les tests.
  • Le déploiement pour permettre aux utilisateurs d’utiliser le programme développé.

La maintenance est nécessaire pour garantir la bonne utilisation des programmes et des logiciels. Elle consiste à corriger les bugs, à faire les mises à jour et à améliorer le produit fini pour rester compétitif.

Plusieurs méthodes permettent d’optimiser le développement informatique en entreprise. La méthode Agile en est l’une d’elles.

1. Les métiers du développement informatique sont des métiers d’avenir

Avec la numérisation croissante de nombreux aspects de notre société, la présence d’experts en développement informatique dans les entreprises ne risque pas de s’arrêter en si bon chemin.

Les besoins informatiques évoluent constamment car les langages se multiplient et se complexifient. Les développeurs ont pour mission de suivre ces évolutions puis de les intégrer au sein de l’entreprise.

Les entreprises de tous les secteurs ont besoin d’une main-d’œuvre formée pour créer, maintenir et améliorer leurs logiciels, leurs applications et leurs infrastructures technologiques. Mais aussi pour protéger toutes les données stockées. 

2. Les métiers du développement informatique sont très variés

Le développement informatique offre une multitude de métiers. Il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux d’étude dès lors que vous avez une certaine appétence pour l’univers de l’informatique.

Voici une liste non exhaustive des emplois que vous pouvez retrouver dans les entreprises : 

  • Le développeur logiciel (en anglais, software developer). Il conçoit et assure la maintenance de logiciels informatiques.
  • Le développeur web. On parle aussi d’intégrateur web ou de développeur informatique. Il conçoit des sites et des applications web. Il les code en utilisant un ou plusieurs langages de programmation. Par exemple, HTML, CSS, JavaScript, Python, C++. Il utilise aussi des frameworks comme Angular, React ou Vue.js.
  • Le développeur mobile. Il est le spécialiste du développement d’applications mobiles pour les plateformes iOS et Android.
  • Le développeur full-stack (en anglais, full-stack developer). Il est capable de développer front-end (interface utilisateur) et back-end (logique métier et base de données).
  • Le développeur back-end (en anglais, backend developer). Il est spécialisé dans le développement de la partie serveur des applications. Y compris la gestion des bases de données et les API. Il opère sur ce qui n’est pas visible pour l’utilisateur.
  • Le développeur front-end. Il programme l’interface utilisateur. Autrement dit, ce que l’utilisateur voit chaque jour lorsqu’il navigue sur ses sites préférés.
  • L’ingénieur DevOps. DevOps est la contraction de développeur et d’opérations. Il possède à la fois des compétences en développement et en administration des systèmes de l’entreprise. Il est en mesure de créer puis de déployer des applications qui s’intégreront parfaitement dans l’infrastructure de l’entreprise.
  • L’architecte logiciel (en anglais, software architect). Il conçoit l’architecture logicielle des applications, en définissant les structures et les interactions entre les différents composants.
  • L’ingénieur en sécurité informatique (en anglais, security engineer). Il protège les systèmes informatiques et les données contre les cyberattaques en mettant en œuvre des mesures de sécurité appropriées.
  • Lead développeur : il accompagne l’équipe de développeurs.

Citons encore le technicien support informatique, l’architecte Cloud ou l’architecte salesforce.

3. Les offres d’emploi sont nombreuses

La transformation digitale n’a pas épargné les entreprises. Pour rester compétitives, elles ont dû s’adapter et digitaliser de nombreux process. Pour opérer ces changements, elles font massivement appel aux talents de l’IT

Les sujets pour lesquels les entreprises ont besoin de recruter sont identiques : sécurisation des données, stockage des data, Cloud, SAP, enjeux DevOps, Big data… Créant ainsi une pénurie de main-d’œuvre. On parle de métiers en tension.

L’offre est aujourd’hui bien supérieure à la demande : 

  • Les jobboards contiennent de nombreuses annonces d’emploi liées à l’informatique, partout en France et dans le monde. 
  • Dans tous types d’entreprises : des start-up ou des grands groupes.
  • Avec tous types de contrats de travail proposés : CDI, CDD, alternance… 

Face à la pénurie d’experts disponibles, les entreprises ont bien souvent recours à des spécialistes de l’informatique freelance. 

En vous orientant vers le développement informatique, vous êtes assuré de trouver l’emploi de vos rêves, avec de très bonnes conditions de travail.

4. Le développement informatique offre une grande flexibilité professionnelle aux candidats

Dans le secteur du développement informatique, le rapport de force est clairement inversé. En tant que candidat, vous serez en mesure de choisir les conditions de travail qui vous séduisent le plus.

Pour vous attirer dans leur organisation, les recruteurs rivalisent d’avantages et de conditions attractives : 

  • Flexibilité au travail : full remote, travail hybride… Vous pouvez bien souvent travailler n’importe où dans le monde.
  • Politique RH spécifique.
  • Outils à la demande.

Si vous êtes en recherche de souplesse dans votre quotidien, les métiers du développement informatique peuvent vous l’offrir.

5. Les formations en développement informatique sont variées

Que vous décidiez de vous lancer dans une carrière de développeur après le Bac ou que vous opériez une reconversion professionnelle après quelques années d’expérience, l’offre de formation ne manque pas pour vous permettre de vous lancer sur le marché de l’emploi.

En formation initiale, le développement informatique est généralement accessible à partir d’un Bac +2 : 

  • BTS services informatiques aux organisations.
  • BTS cybersécurité, informatique et réseaux, électronique.

Mais vous pouvez poursuivre vos études pour viser d’autres métiers du développement informatique, avec un Bac + 3 : 

  • BUT informatique.
  • BUT réseaux et télécommunications.
  • Licence pro mention métiers de l’informatique.

Un Bac + 5 : 

  • Diplôme d’ingénieur.
  • École spécialisée dans l’informatique.
  • Diplôme d’école de commerce.
  • Master universitaire en informatique.

Pour répondre aux problématiques concrètes des entreprises, de nombreux organismes de formation sérieux comme Fitec ont façonné des formations sur-mesure pour tous ceux qui souhaitent changer de métier et se reconvertir dans le développement informatique.

Exemples de formation continue en développement informatique : 

En 3 mois, ces formations vous assurent la maîtrise des soft skills et des hard skills nécessaires pour exceller sur l’un des nombreux métiers cités plus haut.

Bon à savoir : les formations Fitec sont finançables avec votre CPF. Renseignez-vous.

6. L’innovation et la créativité sont au cœur des préoccupations du développement informatique

Faire le choix du développement informatique, c’est se lancer dans une carrière où l’innovation et la créativité seront au cœur de vos problématiques quotidiennes pour améliorer la compétitivité et la croissance de votre entreprise.

Si vous aimez résoudre des problèmes complexes, si vous aimez transformer des concepts abstraits en des projets réels, si vous voulez porter votre organisation à la pointe de l’innovation technique, le développement informatique est fait pour vous car il mobilise toutes ces soft skills essentielles.

7. Les salaires sont attractifs

Les rémunérations affichées sur le marché de l’IT sont à la mesure des besoins en main-d’œuvre des employeurs : conséquents. 

Plus le profil est rare, plus la surenchère est importante.

Voici quelques exemples de salaire, qui n’incluent pas d’éventuels bonus, avantages ou bénéfices.

Développeur : 

  • Expérience débutant : 42 000 euros brut par an.
  • Expérience intermédiaire : 55 000 euros brut par an.
  • Expérimenté reconnue : 65 000 euros brut par an.

Ingénieur DevOps : 

  • Expérience débutant : 55 000 euros brut par an.
  • Expérience intermédiaire : 65 000 euros brut par an.
  • Expérimenté reconnue : 75 000 euros brut par an.

Lead développeur : 

  • Expérience débutant : 55 000 euros brut par an.
  • Expérience intermédiaire : 65 000 euros brut par an.
  • Expérimenté reconnue : 80 000 euros brut par an.

Architecte logiciel : 

  • Expérience débutant : 60 000 euros brut par an.
  • Expérience intermédiaire : 70 000 euros brut par an.
  • Expérimenté reconnue : 80 000 euros brut par an.

(Source : Guide des salaires 2024, Robert Half).

8. Les opportunités de carrière sont intéressantes

Les métiers du développement informatique offrent généralement de nombreuses opportunités de carrière et de croissance professionnelle. 

Les développeurs peuvent évoluer vers des rôles de leadership technique, devenir des experts dans des domaines spécifiques, ou même créer leur propre entreprise.

Développement informatique, ce qu’il faut retenir 

Les métiers du développement informatique sont considérés comme des métiers porteurs en 2024

La transformation numérique des entreprises entraîne un besoin croissant et permanent de profils ayant de solides compétences techniques en informatique. 

L’évolution rapide de la technologie et l’importance de l’innovation continue offrent de belles opportunités de carrière à tous ceux qui ont de l’appétence pour cet univers !

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5 conseils pour réussir sa reconversion informatique

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C’est décidé, vous changez de métier ? Cap sur une reconversion professionnelle dans l’informatique ! Ce secteur a le vent en poupe, les offres d’emploi sont nombreuses et les employeurs recherchent des profils qualifiés. Autant de bonnes raisons pour vous lancer. Mais avec méthode. Comment réussir votre reconversion informatique ? Découvrez nos 5 meilleurs conseils pour vous donner les meilleures chances de décrocher le job de vos rêves.

Gros plan sur le site de Fitec

1. Bien définir son projet de reconversion informatique

Une reconversion professionnelle, y compris dans le secteur de l’informatique, ne s’opère pas du jour au lendemain. Le chemin est long et peut parfois être semé d’embûches. Pour atteindre votre objectif et vous épanouir sur vos nouvelles fonctions, une bonne préparation s’impose.

Ai-je vraiment besoin d’une reconversion professionnelle ?

Commencer par une introspection est nécessaire pour vous assurer qu’une reconversion professionnelle est bien ce qu’il vous faut.

Voici quelques exemples de questions à vous poser : 

  • Êtes-vous certain de vouloir changer de métier ?
  • Est-ce qu’un changement d’employeur vous permettrait d’obtenir un nouveau souffle professionnel ?
  • Qu’est-ce qui motive votre reconversion numérique
    • Une quête de sens au travail ?
    • La recherche d’un meilleur équilibre vie professionnelle – vie personnelle ?
    • Un meilleur salaire ?
    • De meilleurs avantages sociaux ?
    • Une flexibilité dans les horaires de travail ?
    • Un travail intéressant et stimulant ?
    • Etc.

Les réponses à vos différentes questions doivent toutes aller dans le même sens : c’est un virage à 360° qu’il vous faut et non un simple changement d’entreprise.

Une reconversion informatique est-elle adaptée à mes ambitions professionnelles ?

Le secteur du numérique et de l’IT présente des caractéristiques qui doivent vous convenir dans votre nouvelle carrière.

Notamment :

  • Les métiers sont techniques.
  • Les évolutions technologiques sont rapides.
  • Une certaine agilité d’esprit et une forte capacité d’adaptation sont nécessaires.

Si vous êtes à l’aise avec celles-ci, foncez, une nouvelle carrière dans l’informatique vous attend.

Bon à savoir : en cas de doute, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un professionnel de la reconversion. Vous pouvez solliciter l’aide d’un coach ou d’un conseiller, spécialistes de la réorientation pour vous accompagner dans vos réflexions et vos démarches. Vous pouvez aussi faire un bilan de compétences, financé par votre CPF.

Si vous êtes cadre, l’APEC propose un accompagnement gratuit par un conseiller en évolution professionnelle (CEP). 

2. Identifier les métiers de l’informatique qui recrutent avant de commencer sa reconversion

Se reconvertir dans l’informatique c’est bien, mais viser des métiers qui recrutent des talents à tour de bras c’est mieux. Autrement dit, mieux vaut cibler des emplois pour lesquels les offres sont nombreuses, y compris pour les débutants.

En 2024, la tendance du marché de l’emploi est claire. Vous n’aurez aucun mal à trouver des débouchés professionnels dans les métiers de l’informatique, y compris dans le cadre d’une reconversion professionnelle. 

Top 3 des professionnels les plus recherchés dans l’informatique, d’après la dernière étude des rémunérations 2024 publiée par le cabinet Robert Walters : 

  • Architecte cloud, données, cybersécurité.
  • Directeur de plateforme.
  • Responsable technique des données.

Top 5 des profils les plus recherchés dans l’informatique, d’après la dernière étude des rémunérations 2024 publiée par le cabinet Michael Page : 

  • Développeur web applicatif.
  • Chef de projet Salesforce / SAP.
  • Ingénieur cloud.
  • Ingénieur data & machine learning.
  • Ingénieur cybersécurité.

Bien que ne figurant pas dans les Top des métiers les plus courus, d’autres emplois du secteur informatique sont particulièrement recherchés par les recruteurs. Il s’agit par exemple du data analyst, du product owner ou encore du développeur web.

Vous l’aurez compris, tous ces métiers ne connaîtront pas de crises dans les prochaines années. Votre employabilité est assurée si vous visez l’un d’entre eux.

3. Faire un point sur ses compétences et celles attendues pour le métier visé

On ne s’improvise pas data analyst ou data engineer du jour au lendemain. La technicité des missions qui sont confiées à ces experts est telle, qu’un solide bagage de connaissances est nécessaire pour exceller sur ces fonctions.

Selon l’ampleur de votre virage professionnel, vous aurez probablement besoin d’une formation pour vous donner toutes les compétences techniques (hard skills) et comportementales (soft skills) nécessaires à votre embauche.

Pour le savoir, il est important de faire le point sur : 

  • Vos compétences transférables. C’est-à-dire celles que vous pouvez mobiliser dans votre reconversion informatique.
  • Vos compétences à acquérir pour prétendre au métier choisi.

Ce sont ces dernières qui feront l’objet de la formation de votre choix.

Bon à savoir : certaines compétences informatiques sont particulièrement recherchées par les recruteurs.

4. Sélectionner la bonne formation pour une reconversion informatique réussie

De nombreux organismes de formation existent. À vous de trouver celui qui répond le mieux à vos attentes en termes de pédagogie, de programme, de durée de la formation, de certification délivrée à l’issue du cursus.

Par exemple, Fitec est un organisme de formation spécialisé dans le digital, la tech et l’IT. Il est donc particulièrement recommandé à tous ceux qui souhaitent réaliser une reconversion dans les métiers de l’informatique.

Voici quelques exemples de formation Fitec : 

En suivant l’une de ces formations qualifiantes, Fitec vous offre la possibilité : 

  • D’obtenir un solide socle de compétences pour le métier visé grâce à des cours théoriques et des exercices pratiques. La durée moyenne de la formation est de 3 mois.
  • De rencontrer des intervenants professionnels. Un vrai plus pour vous constituer votre réseau pro.
  • De participer à des jobs dating avec les entreprises qui recrutent. Plus qu’une formation, c’est donc tout un carnet d’adresses que vous vous constituerez en suivant une formation dispensée par Fitec.

La certification délivrée à l’issue du programme de formation est reconnue par les employeurs. Elle est donc un gage supplémentaire pour votre employabilité.

Bon à savoir : les formations peuvent être financées par votre CPF. Renseignez-vous.

5. Concrétiser sa reconversion informatique

Ultime étape du chemin de la reconversion professionnelle, trouver un emploi dans l’informatique. 

Pour cela, vous ne passerez pas à côté du triptyque de la candidature : CV, lettre de motivation et entretien d’embauche. Il est donc important que votre CV soit à jour et fasse mention des dernières formations suivies.

Pour vous démarquer des autres candidats, vous devrez faire part au recruteur des raisons qui ont motivé ce changement de carrière et montrer que votre formation vous a permis d’acquérir de solides bases techniques. 

La reconversion mobilise des capacités propres aux reconvertis : 

  • Motivation.
  • Agilité.
  • Adaptabilité.
  • Résilience.

Le changement de carrière, d’autant plus quand le virage est en épingle, permet de développer des savoir-être particulièrement utiles pour assurer la compétitivité d’une entreprise. Exploitez-les face aux recruteurs pour faire la différence avec d’autres candidats au parcours plus linéaires.

Bon à savoir : n’hésitez pas à solliciter votre réseau professionnel et votre organisme de formation pour vous épauler dans votre recherche d’emploi.

Reconversion informatique, ce qu’il faut retenir 

L’informatique ouvre de nombreux horizons professionnels : 

  • Des métiers variés : développeur web ou d’applications, technicien, ingénieur, spécialiste de la data, spécialiste de la cybersécurité… 
  • Des offres d’emploi partout en France : à Paris et dans toutes les villes.
  • Tout type de contrat de travail : CDI, CDD, alternance, intérim…
  • Des formations courtes et certifiantes, à distance ou en présentiel.

Une reconversion professionnelle, dans l’informatique ou dans tout autre secteur, ne s’effectue pas du jour au lendemain. Elle demande une préparation minutieuse pour répondre aux besoins des recruteurs et se donner les meilleures chances de décrocher le job de vos rêves.

Pas-à-pas, vous devez : 

  1. Définir votre projet de reconversion.
  2. Identifier les métiers qui recrutent.
  3. Évaluer les compétences nécessaires pour atteindre son objectif.
  4. Sélectionner la formation adéquate.
  5. Mettre à jour votre CV.

En suivant nos 5 conseils, votre reconversion dans l’informatique est assurée. Bon changement de cap !

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10 métiers porteurs en 2024 dans le secteur de l’IT et du numérique

Date :

Vous vous interrogez sur votre avenir professionnel ? Ce questionnement touche aussi bien les étudiants en quête de la meilleure orientation possible, les salariés désireux d’effectuer un changement de cap et ceux souhaitant monter en compétences au sein de leur organisation. Le monde du numérique et de l’IT offre des opportunités florissantes. Quels sont les métiers porteurs en 2024 ? Découvrez ceux qui ne connaîtront pas de crises ces prochaines années.

Discussion entre collègues et recruteur

À noter : les 10 métiers porteurs dans le secteur de l’IT et du numérique que nous vous présentons ont été identifiés comme faisant partie du top 5 des profils les plus recherchés dans ces 2 secteurs. Source : Étude de rémunérations 2024, Michael Page.

C’est quoi un métier porteur ?

Un métier porteur est un emploi dont la demande sur le marché du travail est élevée. Concrètement, les offres d’emploi sont nombreuses car les employeurs recrutent à tour de bras.

Ces métiers présentent généralement des perspectives d’emploi solides, offrent de bonnes conditions de travail et parfois des salaires attractifs.

Opter pour ces emplois qui ont le vent en poupe permet d’augmenter vos chances de vous inscrire dans une carrière stable et prometteuse.

Pourquoi se former à un métier porteur ?

Se former à un emploi porteur présente plusieurs avantages : 

  • Augmenter significativement les chances de trouver un emploi dans un marché compétitif.
  • Bénéficier de meilleures conditions de travail.
  • Bénéficier d’opportunités d’évolution de carrière.
  • Toucher un salaire confortable dès le début de sa carrière.
  • Se doter de compétences spécialisées, qui renforcent l’attractivité sur le marché.
  • Pour développer plus facilement son réseau professionnel.

Autrement dit, viser des emplois porteurs est un choix judicieux pour assurer sa réussite professionnelle.

Les 10 métiers porteurs du numérique et de l’IT en 2024

Voici une liste de 10 métiers dans le secteur de l’IT et du numérique qui ont de l’avenir en 2024 et dans les prochaines années.

1. Développeur web applicatif

Au cœur de l’expérience utilisateur en ligne, les développeurs web applicatifs sont les artisans derrière les applications interactives qui rendent la navigation sur le web fluide et intuitive.

Son rôle et ses missions

Les développeurs web applicatifs sont chargés de concevoir et de mettre en œuvre des applications web interactives et intuitives.

Les compétences attendues

Voici ce qu’un recruteur attend de vous : 

  • Maîtriser des langages de programmation.
  • Comprendre les exigences utilisateurs.
  • Savoir résoudre des problèmes complexes.

Cette liste n’est pas exhaustive.

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent aux études de salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 42 – 47.
  • 2-5 ans : 47 – 60. 
  • 5-10 ans : 60 – 70.
  • 10-15 ans et + : 70 – 80.

Un emploi accessible en formation continue

Fitec propose une formation de développeur web applicatif. Sur un format court de 3 mois, elle  vous livre le socle de connaissances essentiels pour évoluer dans ce domaine en constante évolution.

Les débouchés professionnelles

Les opportunités d’emploi pour les développeurs web applicatifs sont nombreuses, avec une demande croissante partout en France (Par exemple, Hauts-de-France, Île-de-France, Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône-Alpes ou Pays de la Loire). .

En choisissant cette voie, vous entrez dans un secteur dynamique où la créativité et la compétence technique sont hautement valorisées.

2. Chef de projet SAP/Salesforce

Au centre de la gestion de projets liés aux solutions SAP/Salesforce, les chefs de projet SAP/Salesforce jouent un rôle cadre en assurant le succès et la satisfaction des clients tout au long du processus.

Son rôle et ses missions

Le métier de chef de projet SAP/Salesforce est crucial en entreprise. Ce professionnel joue un rôle essentiel en supervisant la mise en place et le suivi de projets liés à ces solutions logicielles.

Il veille à ce que les projets soient menés à bien, en assurant une coordination efficace entre les équipes et en garantissant la satisfaction des clients.

Les compétences attendues

Les hard skills essentielles pour exceller en tant que chef de projet SAP/Salesforce incluent : 

  • La maîtrise de la gestion de projet.
  • Une expertise approfondie dans les solutions SAP/Salesforce.
  • La capacité à coordonner les différentes équipes impliquées dans le projet.

La communication efficace et la résolution rapide des problèmes sont également des soft skills clés pour ce poste.

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 45 – 50.
  • 2-5 ans : 50 – 65.
  • 5-10 ans : 65 – 80.
  • 10-15 ans et + : 80 – 100.

Un emploi accessible en formation continue

Fitec propose une formation complète pour devenir consultant fonctionnel Salesforce

D’une durée de 3 mois, elle vous permet de maîtriser les rudiments de la profession et donc de travailler votre employabilité.

Les débouchés professionnelles

Les chefs de projet SAP/Salesforce bénéficient de nombreux débouchés professionnels, avec une forte demande sur le marché.

Les opportunités d’évolution de carrière sont diversifiées, vous offrant une trajectoire ascendante dans le domaine du conseil et de la gestion de projets liés aux solutions logicielles SAP/Salesforce.

3. Ingénieur cloud 

Cet expert du stockage des données a un rôle essentiel dans une société ultra digitalisée.

Son rôle et ses missions

Les ingénieurs cloud sont les architectes du futur numérique, responsables de la conception et de la mise en place de solutions cloud innovantes.

Ils veillent à garantir la sécurité et la performance des infrastructures, en créant des environnements cloud adaptés aux besoins spécifiques des entreprises.

Les compétences attendues

Pour exceller en tant qu’ingénieur cloud, vous devez : 

  • Avoir une expertise approfondie en architecture cloud.
  • Maîtriser de la gestion de la sécurité des données.
  • Connaître les technologies cloud émergentes.

La capacité à anticiper les besoins évolutifs des entreprises et à proposer des solutions adaptées est également cruciale.  

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 45 – 55.
  • 2-5 ans : 55 – 70.
  • 5-10 ans : 70 – 85.
  • 10-15 ans et + : 85 > 85.

Un emploi accessible en formation continue

Pour accéder à ce métier porteur, il est essentiel de développer les savoirs nécessaires en architecture cloud.

Fitec propose des formations initiales et continues de haute qualité pour vous préparer à ce métier.

Les débouchés professionnelles

Avec la généralisation des solutions cloud, la demande pour les ingénieurs cloud est en constante croissance. Les débouchés professionnels sont multiples, vous offrant des opportunités variées dans des organisations de toutes tailles et de tous secteurs.

4. Ingénieur data et ingénieur machine learning

L’univers des données et de l’apprentissage automatique a transformé la manière dont les entreprises abordent l’information. Les ingénieurs data, ou data engineer, et les ingénieurs en machine learning jouent un rôle clé dans cette révolution, façonnant l’avenir des technologies de l’information.

Son rôle et ses missions

Les ingénieurs data et en machine learning sont chargés de développer des solutions innovantes pour l’analyse et la compréhension des données. 

Ils travaillent sur des projets variés, de la conception de modèles prédictifs à la mise en place d’infrastructures robustes pour le stockage et le traitement des données.

Les compétences attendues

Posséder une expertise approfondie en algorithmes, en langages de programmation adaptés à l’analyse de données et une compréhension fine des besoins métiers sont des hars skills essentielles pour prétendre à ce type de poste.

La capacité à travailler avec des technologies émergentes et à résoudre des problèmes complexes sont également des atouts majeurs.

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 40 – 50.
  • 2-5 ans : 50 – 60.
  • 5-10 ans : 60 – 75.
  • 10-15 ans et + : > 75.

Un emploi accessible en formation continue

Fitec propose une formation complète en data engineering. D’une durée de 3 mois, elle vous livre le socle de connaissances essentielles.

Les débouchés professionnelles

La demande pour les ingénieurs data et en machine learning ne cesse de croître. 

Bien formés, les professionnels de ce secteur peuvent s’attendre à des débouchés variés dans des entreprises technologiques innovantes. Dans des secteurs d’activité variés tels que la santé, la finance ou la recherche.

L’avenir professionnel dans ces domaines est aussi vaste que les possibilités offertes par les données elles-mêmes.

5. Ingénieur cybersécurité

Dans un monde de plus en plus connecté, la cybersécurité est devenue une préoccupation majeure pour les organisations.

Les ingénieurs en cybersécurité jouent un rôle essentiel dans la protection des systèmes informatiques contre les menaces potentielles.

Son rôle et ses missions

Les ingénieurs en cybersécurité sont les gardiens virtuels des infrastructures informatiques. 

Leur mission principale consiste à anticiper, prévenir et contrer les attaques potentielles. 

Ils veillent également à la sécurité des données, à la protection des réseaux et à la mise en place de mesures robustes pour garantir l’intégrité des systèmes.

Les compétences attendues

Cet emploi porteur nécessite plusieurs savoir-faire et savoir-être pour travailler son employabilité : 

  • Analyser les risques.
  • Maîtrise des outils de sécurité.
  • Capacité à rester à la pointe des dernières menaces informatiques. 
  • La résolution rapide des incidents.
  • Une compréhension approfondie des vulnérabilités des systèmes.

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 40 – 50.
  • 2-5 ans : 50 – 60.
  • 5-10 ans : 60 – 75.
  • 10-15 ans et + : > 75.

Un emploi accessible en formation continue

Pour accéder à cette carrière passionnante et vous préparer à devenir expert en sécurité informatique, Fitec propose une formation spécialisée en cybersécurité.

Les débouchés professionnelles

La cybersécurité est un domaine en constante évolution. Les ingénieurs en cybersécurité sont très recherchés. 

Les débouchés professionnels sont variés, avec des opportunités dans divers secteurs tels que la finance ou la santé. Et dans tous types de structure, comme les organismes gouvernementaux, les start-up et les grands groupes. 

6. Architecte cloud

Dans l’ère numérique actuelle, l’architecture cloud est au cœur de l’innovation technologique. Les architectes cloud sont les visionnaires qui conçoivent et déploient des infrastructures cloud, offrant agilité, évolutivité et sécurité aux entreprises.

Son rôle et ses missions

L’architecte cloud a pour mission de concevoir des solutions cloud adaptées aux besoins spécifiques des entreprises. 

Ils travaillent sur la conception d’architectures robustes, garantissant la sécurité des données, la disponibilité des services, et l’efficacité opérationnelle.

Les compétences attendues

Pour réussir en tant qu’architecte cloud, vous devez :  

  • Posséder une expertise approfondie en architecture cloud.
  • Maîtriser les technologies cloud.
  • Concevoir des solutions répondant aux exigences spécifiques des entreprises.

La connaissance des meilleures pratiques en matière de sécurité et la capacité à anticiper les besoins futurs sont également cruciales.

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 60 – 70.
  • 2-5 ans : 70 – 80.
  • 5-10 ans : 80 – 110.
  • 10-15 ans et + : > 110.

Un emploi accessible en formation continue

Fitec propose des formations de reskilling pour former les futurs architectes cloud. 

Elles sont reconnues par 3 certifications :

  • AWS Certified Solutions Architect – Associate.
  • HashiCorp Terraform Associate.
  • Linux foundation Certified (LFCA).

Les débouchés professionnelles

Avec la demande croissante pour des solutions cloud innovantes, les architectes cloud bénéficient de nombreux débouchés professionnels. Que ce soit dans des entreprises technologiques, des start-up en plein essor ou au sein de grandes organisations.

Les opportunités d’évolution de carrière sont vastes pour les professionnels de l’architecture cloud. 

7. Product owner

Dans le domaine du développement logiciel, le rôle de product owner est central (PO). Les Product Owners sont les chefs d’orchestre des projets, garantissant que les produits développés répondent aux besoins des clients et du marché tout en maximisant la valeur pour l’entreprise. 

Son rôle et ses missions

Le product owner a pour mission de représenter les besoins des clients et du marché au sein de l’équipe de développement : 

  • Il définit la vision du produit.
  • Il établit les priorités des fonctionnalités à développer.
  • Il s’assure que le produit final correspond aux attentes.

Les compétences attendues

Pour réussir votre entretien d’embauche de product owner, vous devez : 

  • Maîtriser les bases de la gestion de produit.
  • Avoir une compréhension approfondie des besoins du marché.
  • Avoir une capacité à coordonner les équipes de développement.

Des soft skills sont également incontournables : 

  • Une bonne communication efficace.
  • La résolution rapide des problèmes.
  • La capacité à prendre des décisions stratégiques.

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 40 – 45.
  • 2-5 ans : 45 – 55.
  • 5-10 ans : 55 – 70.
  • 10-15 ans et + : 70 – 90.

Un emploi accessible en formation continue

Fitec propose des formations spécialisées pour devenir product owner. Renseignez-vous ! 

Les débouchés professionnelles

Les PO sont hautement demandés dans l’industrie du développement logiciel. Après quelques années d’expérience, les professionnels de la gestion de produit peuvent évoluer vers des postes de direction ou créer leur propre entreprise.

8. Data analyst

Au cœur de la révolution des données, les data analysts sont les artisans qui traduisent de manière confidentielle des volumes massifs de données en informations exploitables. Leur rôle est essentiel dans la prise de décision éclairée au sein des entreprises.

Son rôle et ses missions

Le data analyst a pour mission d’analyser des ensembles de données pour extraire des tendances, des modèles et des informations significatives.

Tout ceci dans l’objectif d’aider à la prise de décisions stratégiques pour l’entreprise. 

Les compétences attendues

Vous devez notamment  : 

  • Être en mesure de réaliser des analyses statistiques.
  • Maîtriser des outils d’analyse de données.
  • Savoir communiquer clairement les résultats.

La résolution de problèmes, la curiosité intellectuelle et la compréhension des besoins métiers sont également des atouts clés à mentionner sur un CV.

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 40 – 45.
  • 2-5 ans : 45 – 55. 
  • 5-10 ans : 55 – 70.
  • 10-15 ans et + : 70 – 80.

Un emploi accessible en formation continue

Pour accéder à cette carrière en pleine expansion, Fitec propose une formation spécialisée en data analytics.

Les débouchés professionnelles

Les data analysts sont recherchés dans tous les secteurs d’activité : l’industrie, la finance, la santé, le commercial…

Avec l’expérience, les professionnels de l’analyse de données peuvent évoluer vers des postes de data scientist ou devenir des experts reconnus dans leur domaine.

En choisissant cette voie, vous vous positionnez au cœur de l’évolution numérique, contribuant activement à la croissance et à l’efficacité des entreprises.

9. Administrateur Systèmes et Réseaux

Au cœur de l’infrastructure informatique, les administrateurs systèmes et réseaux sont les gardiens des réseaux, veillant à la stabilité et à la sécurité des systèmes qui soutiennent le fonctionnement des entreprises.

Son rôle et ses missions

L’administrateur systèmes et réseaux a pour mission de maintenir et d’optimiser l’ensemble des infrastructures informatiques d’une entreprise.

Ils veillent à la disponibilité des systèmes, à la sécurité des réseaux, et interviennent en tant que réels techniciens en cas de problèmes.. 

Les compétences attendues

Maîtriser la gestion de systèmes d’exploitation, l’administration réseau et la sécurité informatique sont essentielles pour réussir sur ce métier porteur.

La résolution rapide des incidents, la capacité à anticiper les problèmes potentiels et une compréhension fine des besoins métiers sont également des soft skills clés.

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 35 – 40.
  • 2-5 ans : 40 – 45.
  • 5-10 ans : 45 – 55.
  • 10-15 ans et + : > 55.

Un emploi accessible en formation continue

Fitec propose des formations spécialisées en administration systèmes et réseaux

D’une durée de 3 mois, elles vous livrent tout le socle de connaissances nécessaire pour répondre à des offres d’emploi d’administrateur systèmes et réseaux.

Les débouchés professionnelles

Les Administrateurs Systèmes et Réseaux sont essentiels dans toutes les organisations qui dépendent de l’informatique. Avec l’expérience, vous pouvez évoluer vers des postes à responsabilité, supervisant l’ensemble des infrastructures IT d’une entreprise.

En choisissant cette voie, vous entrez dans un domaine où la demande ne cesse de croître, contribuant directement à la continuité opérationnelle des entreprises.

10. Analyste Cybersécurité

Dans un monde numérique en constante évolution, l’analyste cybersécurité est le gardien virtuel qui protège les systèmes informatiques contre les menaces potentielles.

Son rôle et ses missions

Son rôle est crucial pour assurer la sécurité des données et la continuité des opérations.

Les Analystes Cybersécurité ont pour mission de surveiller et d’analyser les menaces informatiques. Ils mettent en place des mesures de sécurité, analysent les vulnérabilités des systèmes, et réagissent rapidement en cas d’incident.

Les compétences attendues

Vous devez : 

  • Être en mesure d’analyser les risques.
  • Maîtriser les outils de sécurité.
  • Assurer une veille efficace pour rester à la pointe des dernières menaces informatiques.

La résolution rapide des incidents, la collaboration avec les équipes IT et une compréhension fine des stratégies d’attaque sont également des atouts clés. 

Le salaire

Les rémunérations sont exprimées en milliers d’euros (k€) et correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne :

  • 0-2 ans : 40 – 55.
  • 2-5 ans : 55 – 70. 
  • 5-10 ans : 70 – 80.
  • 10-15 ans et + : > 80.

Un emploi accessible en formation continue

Fitec propose une formation d’analyste cybersécurité de grande qualité. En 3 mois, vous obtiendrez le socle de connaissances nécessaires pour prétendre à un emploi dans ce domaine.

Les débouchés professionnelles

Les Analystes Cybersécurité sont essentiels dans toutes les organisations soucieuses de protéger leurs données et leurs opérations.

Avec l’expérience, vous pouvez évoluer vers des postes de responsabilité, supervisant la sécurité globale des systèmes informatiques d’une entreprise.

En choisissant cette voie, vous entrez dans un domaine en constante évolution, contribuant directement à la résilience et à la protection des organisations contre les cybermenaces.

Métiers porteurs en 2024, ce qu’il faut retenir

Les métiers du numérique et de l’IT offrent des perspectives d’avenir prometteuses en 2024. 

Que vous soyez passionné par le développement web, la cybersécurité, l’analyse de données ou la gestion de projets, les opportunités sont vastes et en constante évolution. 

Investir dans une formation adaptée peut être le premier pas vers une carrière épanouissante.

N’hésitez pas à explorer les formations proposées par Fitec pour vous préparer au mieux à ces métiers porteurs. L’avenir professionnel que vous recherchez pourrait bien se dessiner dans le monde dynamique du numérique et de l’informatique !

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Les 15 soft skills incontournables à avoir en entreprise

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Vous cherchez un nouveau job, vous avez des envies de mobilité ou d’évolution vers un nouveau poste ? Vos soft skills sont des atouts indéniables pour travailler votre employabilité. Il s’agit de vos compétences émotionnelles et humaines en lien avec votre personnalité, votre caractère.

Apprenants avec postites en gros plan

Ces compétences sont aussi appelées compétences comportementales ou compétences douces. Elles sont aussi importantes que les hard skills, vos compétences techniques, universitaires, professionnelles qui sont en lien avec votre métier, votre savoir-faire. Pour vous donner les meilleures chances de taper dans l’œil des recruteurs, vous devez les déceler dans les offres d’emploi et les mettre en avant. Ceux-ci s’intéressent en effet à ces 2 éléments de votre CV, que ce soit dans le cadre d’une évolution interne ou d’un recrutement externe. Parfois même, à compétences techniques équivalentes, les soft skills viennent faire toute la différence… Découvrez les 15 soft skills incontournables à avoir en entreprise.

1. L’esprit d’équipe

L’esprit d’équipe traduit l’aptitude d’une personne à participer au travail d’équipe dans le but d’atteindre un objectif commun au service de l’entreprise

Il permet de privilégier la réussite du groupe plus que la réussite personnelle. 

2. L’adaptabilité

L’adaptabilité, autrement appelée flexibilité ou agilité, fait référence à la capacité d’adaptation à de nouveaux milieux ou à de nouvelles situations

Elle fait résonner une capacité d’écoute pour permettre de se positionner en réaction face à une problématique.

3. L’autonomie

L’autonomie est l’aptitude à prendre des initiatives, à discerner les situations pour s’organiser au mieux. 

Elle reflète une confiance en soi permettant d’aller de l’avant dans un projet par exemple ou tout simplement dans les missions confiées sur un poste.

4. La gestion du stress

La gestion du stress est l’appréhension d’une personne à garder le contrôle d’elle-même pour agir efficacement malgré une situation inconnue

Il y a des réactions potentiellement positives au stress, mais pas toujours. Il est important de bien vous connaître pour déterminer votre capacité à travailler dans une certaine mesure de stress, de tension, de pression selon le poste convoité. 

La communication de ce stress, ou la non communication, est un facteur important dans la réussite du travail en équipe. Il concourt au résultat de l’entreprise.

5. L’intelligence émotionnelle

L’intelligence émotionnelle est le fait de reconnaître ses propres émotions et être capable d’interagir avec celles du groupe dans un but commun

L’intelligence émotionnelle implique de bien se connaître, de savoir où sont ses forces, ses axes d’amélioration dans un premier temps, mais aussi dans quel type d’organisation du travail on est à l’aise, dans quel mode de travail, quel mode de communication…. 

6. La curiosité

La curiosité est la capacité à s’intéresser à des situations inconnues, pour mieux les comprendre. C’est une soft skills qui contribue à la résolution de problèmes.

La curiosité professionnelle représente l’ouverture au monde, aux concurrents, aux nouveautés, aux actualités… à la recherche de performance !

7. La capacité d’apprentissage 

Elle mesure la possibilité d’apprendre de nouvelles choses et savoir les mettre en application. 

8. L’intégrité

L’intégrité est la capacité à rester authentique et prendre des décisions éthiques autour des valeurs de l’honnêteté, de la confiance et le respect du travail fourni et de l’entreprise.

9. La résolution de problèmes

La résolution de problèmes est la faculté à réfléchir efficacement et à trouver des solutions appropriées dans le but d’améliorer une situation donnée. 

10. La gestion du temps 

Gérer son temps est l’aptitude à discerner les priorités en planifiant son travail pour optimiser l’organisation.

11. La créativité 

La créativité force à penser différemment pour proposer des solutions innovantes à des problèmes complexes.

12. La communication efficace

La communication efficace réside dans le travail en équipe mais aussi dans la capacité à réagir en écoutant ses interlocuteurs et ses collaborateurs pour avoir des propos en adéquation avec le sujet abordé.

On peut lier cette compétence à l’écoute active qui consiste à la réactivité face à des propos. Ainsi on assure une réponse en phase avec les attentes de son interlocuteur, son client, son concurrent… 

13. La pensée critique

La pensée critique est l’aptitude d’une personne à être critique et ainsi avoir une remise en question et un renouvellement d’idées fréquents.

Elle induit également une capacité à prendre du recul sur une situation pour savoir l’analyser et ainsi en juger le bien fondé, la véracité, l’intérêt finalement.

14. Le leadership

Le leadership est l’aptitude à influencer un groupe, à fédérer

Celle-ci désigne une position dominante d’une personne. On parle de charisme et de capacité à emmener un groupe vers un objectif commun.

Bon à savoir : le leadership est l’une des soft skills à mettre en avant pour réussir son entretien d’embauche de product owner.

15. L’empathie

L’empathie est l’aptitude à comprendre les émotions des autres pour se mettre à leur place, elle renforce les liens d’une équipe. 

Elle est souvent comparée à la bienveillance qui, tout en étant différente, pose un regard constructif et positif sur une situation donnée. 

Le juste milieu autour de l’empathie présage d’un bon équilibre. 

Bon à savoir : il est important de distinguer 2 notions : 

  • Une compétence est une connaissance approfondie, reconnue. Elle est mise en œuvre dans le cadre d’un poste dans le but de répondre à une ou plusieurs missions y afférent. Une compétence permet à une personne d’être efficace et performante dans son entreprise. Il existe 2 types de compétences : les soft skills et les hard skills.
  • Une capacité est une activité intellectuelle donnée, reproductible dans différentes situations.

Où repérer les soft skills recherchées par les recruteurs ?

Pour repérer les soft skills recherchées par les recruteurs, il faut commencer par bien lire les offres d’emploi. Parfois même, lire entre les lignes si les compétences attendues ne sont pas expressément énumérées.

Par exemple, si l’annonce d’emploi fait mention de délais impératifs à respecter, vous devez y lire que la soft skills de gestion du temps est primordial. Mais aussi celle de la bonne maîtrise de son stress.

Bon à savoir : vous pouvez aussi identifier les compétences douces attendues en recherchant des informations sur l’entreprise concernée et la communication sur ses valeurs. 

Comment mettre en avant ses soft skills ?

Les soft skills peuvent être énumérées dans votre CV, dans des rubriques spécifiques ou disséminées un peu partout. vous pouvez aussi les glisser dans votre lettre de motivation, ou en faire part à l’oral lors de l’entretien d’embauche.

Soft skills et CV

Un recruteur scanne un CV en quelques secondes. Il sait où il peut en savoir plus sur les compétences qu’il recherche.

Pour lui faciliter la tâche, vous pouvez en lister quelques-unes dans la rubrique dédiée à vos expériences professionnelles, à vos centres d’intérêt ou dans un encadré spécialement dédié à celles-ci. Tout simplement intitulé Compétences.

Vous prendrez soin de mentionner les soft skills attendues et lues dans l’annonce d’emploi.

Par exemple : si vous écrivez dans le CV que vous pratiquez le football en compétition et que vous êtes capitaine de votre équipe, les RH y verront votre leadership.

Soft skills et entretien d’embauche 

Lors de l’entretien d’embauche, partager une expérience, une réussite professionnelle (ou personnelle si le lien paraît pertinent avec le poste) ou un projet réalisé permet de mettre en lumière certains points saillants de votre personnalité.

Soyez également prêt à partager vos échecs, ils témoignent de votre état d’esprit résilient. 

Soft skills à valoriser quand on est déjà en poste

Si vous êtes déjà en poste, pour réussir à monter en compétence, valorisez vos soft skills auprès de votre manager lors de votre entretien annuel ou professionnel.

Vous pouvez aussi solliciter le service ressources humaines pour un entretien de carrière afin de faire le point ou de faire connaître votre intérêt pour un poste paru en interne.

Préparez toujours vos entretiens, étayez vos expériences par des arguments construits et mettez en avant la soft skills en lien avec le résultat attendu selon vos missions.

Comment acquérir de nouvelles soft skills ?

La formation continue reste un bon moyen pour acquérir de nouvelles compétences, que ce soit en interne ou en externe de votre entreprise. 

Les formations internes peuvent être complétées par l’utilisation de votre CPF.

Votre parcours sera valorisé par l’acquisition de nouvelles compétences et vos candidatures n’en seront que plus sérieuses et crédibles. 

Des organismes de formation sérieux comme Fitec proposent de nombreuses formations dans le digital pour vous former ou vous reconvertir sur les nombreux métiers qu’offre ce secteur.

Envisager une formation dans le cadre d’une reconversion professionnelle, c’est également possible.

Soft skills, ce qu’il faut retenir

Les soft skills sont l’illustration de votre personnalité ! Elles sont bien plus complexes à acquérir que les hards skills d’une certaine manière. Puisque ces dernières émanent de votre parcours universitaire.

Cependant, il reste possible d’en acquérir par le biais de formations professionnelles et de votre expérience tout au long de votre parcours. 

Misez tout sur le bon matching de vos skills personnelles avec les skills recherchées pour le poste visé ! 

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