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Changer de métier… Et pourquoi pas vous !?

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Vous n’en pouvez plus de votre job ? Vous souhaitez opérer un virage professionnel mais vous ne savez pas trop comment faire ?

formateur qui donne une bonne remarque (Evocime)

Changer de métier ne s’improvise pas du jour au lendemain. Votre projet doit être bien préparé pour à la clé vous épanouir pleinement dans votre nouvelle vie professionnelle. Pourquoi changer de métier ? Quand ? Comment ? Quel emploi viser ? Comment financer la formation ? Découvrez toutes nos réponses pour un changement de voie réussi.

Changer de métier, ça veut dire quoi ?

Changer de métier, cela signifie exercer un autre emploi que celui actuellement occupé.

Le changement de métier peut s’opérer à différents niveaux : 

  • Changer de métier au sein d’une même entreprise. Par exemple, lors d’une évolution professionnelle. Vous passez de community manager à social media manager.
  • Changer de métier dans un même secteur d’activité. Par exemple, vous devenez responsable marketing après avoir longtemps occupé le poste de chargé de communication externe.
  • Changer de métier dans un tout autre secteur professionnel. Vous devenez développeur web après avoir longtemps exercé la profession de commercial dans la grande distribution.

Quand on change de métier, on peut aussi parler de reconversion professionnelle. Ce processus à le vent en poupe. De nombreuses raisons peuvent vous amener à l’envisager.

Pourquoi changer de métier ?

Plusieurs facteurs peuvent vous pousser à envisager un nouveau métier. Ils sont propres à chacun. C’est-à-dire que les raisons qui motivent une reconversion pour l’un ne valent pas forcément pour l’autre. Chacun place le curseur de ses exigences et de son bien-être professionnels au niveau qu’il trouve acceptable.

Voici une liste non limitative de facteurs qui peuvent vous pousser à vous reconvertir : 

  • Une quête de sens au travail : vous ne vous retrouvez plus dans les valeurs que vous défendez. Ou à l’inverse, votre emploi est dépourvu de sens.
  • Une trop faible rémunération.
  • Un déséquilibre entre votre vie personnelle et votre vie professionnelle.
  • Un rêve d’enfant que vous souhaitez accomplir.
  • Un déménagement.
  • Un emploi obsolète ou qui risque de le devenir prochainement. 
  • Un emploi qui a évolué dans un sens qui vous déplaît.
  • Une longue période d’inactivité.
  • Un besoin de challenge professionnel.

Identifier les raisons qui vous poussent à vous réorienter est fondamental. Chaque situation est unique.

Comment savoir si je dois changer de métier ?

Changer de métier est une question très personnelle. La décision ne peut être prise que par vous, après avoir réalisé un travail introspectif

Ne passez pas à côté de cette étape fondamentale. Changer de métier présente toujours une part de risque. Mais qu’il est possible de limiter en faisant le tour du projet et en cernant les raisons qui vous motivent à changer de voie.

Voici quelques-une des questions qui peuvent vous aider à faire un choix professionnel éclairé : 

  • Est-ce mon entreprise actuelle qui ne me convient plus ? Si oui, quels sont les points qui me déplaisent ? 
  • Qu’est-ce qui ne me convient pas dans mon emploi ? Mes horaires, les valeurs défendues par l’entreprise, mon salaire, mes tâches, le manque d’évolution…
  • Qu’est-ce qui me motive dans mon emploi ? Mes missions, mes collègues, mes avantages salariaux…

Les réponses à ces questions vous permettront d’éviter de changer de poste pour de mauvaises raisons. Comme un style de management qui ne vous convient pas ou un problème relationnel avec un collègue. Dans ces exemples, changer d’employeur peut suffire à retrouver goût au travail.

Tout au contraire, il peut s’avérer que votre métier n’est plus du tout adapté à votre mode de vie ou à vos valeurs. C’est alors le signe qu’un changement de métier est nécessaire.

Bon à savoir : Fitec vous propose des formations au plus près des réels besoins du marché, dans le domaine de l’IT et du digital. Par exemple, une formation de Product owner, une formation de consultant Cybersécurité, une formation Consultant SIRH Oracle. Les formations sont qualifiantes et certifiées Qualiopi.

Qui peut changer de métier ?

Tous les travailleurs peuvent changer de métier :  

  • Peu importe le type de contrat de travail signé.
  • Peu importe le statut du salarié (cadre, employé, technicien, agent de maîtrise, ouvrier). 
  • Peu importe également le nombre d’années d’expérience : jeune diplômé, senior ou proche de la retraite. 
  • Peu importe l’âge.
  • Peu importe qu’il y ait une période d’inactivité professionnelle.
  • Peu importe le parcours professionnel.
  • Peu importe le niveau d’étude, le bac obtenu.
  • Peu importe que la personne soit en poste ou non.

La reconversion professionnelle en CDI, c’est également possible. La stabilité d’un emploi ne doit pas vous empêcher à envisager une nouvelle étape dans votre carrière professionnelle dès lors que celle-ci est mûrement réfléchie et préparée.

Dans quel métier se reconvertir ?

Vous êtes en panne d’idées de métier pour votre reconversion ? Rassurez-vous, en fonction de vos affinités, de vos exigences professionnelles, des objectifs que vous souhaitez atteindre dans votre carrière, il existe une multitude de métiers possibles.

Un métier qui recrute

Pour que votre virage à 360° soit couronné de succès, vous devez prendre en compte le jeu de l’offre et de la demande. Autrement dit, vous devez vous assurer que le métier visé vous offrira de réelles opportunités d’emploi, qu’il existe des débouchés. Les employeurs doivent recruter.

Pour cela, n’hésitez pas à étudier le marché de l’emploi. Pour apprécier l’état du recrutement, consultez les offres d’emploi sur le métier visé. Si vous en voyez suffisamment, c’est que les entreprises cherchent des profils comme celui que vous visez. Dans le cas inverse, c’est mauvais signe.

Par exemple, le secteur digital recrute. Il y a même des métiers pénuriques, ou en tension, pour lesquels les entreprises peinent à recruter et s’arrachent les rares talents disponibles sur le marché. Il s’agit par exemple du product manager, du product owner, du développeur d’application, du développeur no-code. Une reconversion dans les métiers du numérique est pour vous synonyme d’emploi assuré. 

L’intelligence artificielle, l’Internet des objets (IoT), le cloud computing, la blockchain ont créé des nouveaux métiers qui peinent à trouver des candidats. En parallèle, le besoin en cybersécurité s’est accru. Se former à la cybersécurité est une piste sérieuse pour un changement de métier réussi. 

Un métier en adéquation avec ses critères

Que vous ayez une passion à assouvir, une envie de temps libre, le besoin d’être votre propre patron ou encore de donner de votre temps pour une bonne cause, le métier de vos rêves doit épouser tout ou partie de vos critères.

Si des concessions sont possibles, votre nouvel emploi doit remporter votre adhésion. Pour cela, renseignez-vous bien sur les coulisses de celui-ci : les horaires exigés, la pénibilité, les perspectives d’évolution, le salaire…

Dans la balance des intérêts, vous devez avoir plus de points positifs que de points négatifs.

Bon à savoir : si vous êtes totalement perdu face à votre avenir professionnel, vous pouvez faire un bilan de compétences. D’une durée de 24 heures environ, il vous permet de faire le point sur vos compétences et sur vos envies pour dessiner le contour de votre avenir professionnel. Le bilan de compétences est finançable avec le CPF. Vous pouvez aussi avoir besoin d’un accompagnement plus personnalisé. Un coach en reconversion professionnelle peut vous donner de bons conseils.

Quel est le meilleur moment pour changer de métier ?

Il n’existe pas de meilleur moment pour se lancer dans une nouvelle ère professionnelle. Tout dépend du ressenti de chacun, de son mode de vie, de ses choix et de ses envies. Mais aussi du risque financier qu’on est prêt à prendre car un changement de métier peut coûter cher.

Il est possible de changer de métier à 30 ans, à 40 ans ou à 50 ans. 

Pour trouver le bon moment, il faut se connaître et identifier les signes qui ne trompent pas : 

  • Une lassitude dans son travail.
  • Un manque de motivation professionnelle.
  • Un désaccord avec les valeurs défendues par son employeur.
  • Une envie de nouveauté.
  • Une carrière au point mort.
  • Un secteur en déclin.
  • Une envie d’être à son compte.
  • Etc.

Combien coûte un changement de métier ?

Changer de métier a un coût

Dans la majorité des cas, une formation pour se reconvertir est un passage obligé pour travailler son employabilité. Par exemple, pour acquérir les compétences informatiques les plus recherchées. Mais aussi pour bénéficier d’un intermédiaire solide entre la personne en reconversion et les entreprises qui recrutent.

Il faut alors prendre en compte : 

  • Le coût de la formation en elle-même.
  • La perte de salaire ou la baisse de salaire.
  • Le coût de transport, de restauration et d’hébergement.

Avant de vous lancer, étudiez les impacts financiers de votre projet sur votre vie de tous les jours.

Bon à savoir : il existe des aides pour accompagner les salariés. Par exemple, votre CPF peut être mobilisé pour financer des formations qualifiantes. Ou encore l’aide de Transition Pro. Si vous êtes au chômage, Pôle emploi peut aussi financer tout ou partie des formations. Demandez conseils à votre conseiller Pôle emploi.

Je veux changer de métier, comment faire ?

Plusieurs étapes doivent être accomplies pour changer de métier dans les meilleures conditions :

  1. Vérifier qu’un nouveau métier est la bonne option pour vous.
  2. Faire le point sur les débouchés offerts par le métier visé.
  3. Lister les compétences attendues sur le nouveau métier, celles que vous possédez déjà et celles à acquérir pour que les entreprises vous recrutent.
  4. Évaluer votre besoin en formation et étudier son financement.
  5. Trouver un organisme de formation qui propose des formations qualifiantes.
  6. Mettre à jour votre CV.
  7. Peaufiner son pitch de présentation pour justifier son changement de métier.
  8. Chercher un travail en parcourant les offres d’emploi.

Bien mené, votre projet sera couronné de succès !

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Comment et pourquoi l’expérience employé doit être au cœur des préoccupations des employeurs ?

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Vous entendez parler de l’expérience employé, de l’expérience collaborateur ou de l’expérience salarié et vous ne savez pas bien ce que cela signifie ?

Recruteur (infodis)

Cette notion est fondamentale pour les entreprises puisqu’elle participe à la construction de sa marque employeur et à son rayonnement externe. Mais plus encore, elle renforce l’engagement et donc la productivité des collaborateurs. Définition, avantage, conséquences, leviers d’action… Découvrez l’essentiel à savoir sur l’expérience employé. 

Qu’est-ce que l’expérience employé ?

L’expérience employé, c’est le processus qui regroupe l’ensemble des événements qui jalonnent le parcours d’un employé avant même son entrée jusqu’à sa sortie de l’entreprise et après.

De cette expérience vécue en ressort un ressenti pour le salarié, qu’il soit professionnel ou personnel. Ces 2 dimensions, personnelle et professionnelle, s’imbriquent autour de l’expérience employé.

L’expérience employé est donc vécue à différentes phases de son cycle dans l’entreprise :  

  • Le recrutement.
  • L’onboarding.
  • Le développement de sa carrière.
  • La fidélisation.
  • Le départ de l’entreprise.

Pourquoi faut-il prendre soin de l’expérience employé ?

Dans le contexte actuel du marché de l’emploi, aussi tendu qu’il soit pour les métiers pénuriques, l’expérience employé fait partie des outils pour fidéliser les salariés en poste et attirer de nouveaux talents. Il est même devenu un atout phare pour les services des ressources humaines (RH).

Transmettre un message positif à travers l’expérience collaborateur, et le laisser entre-apercevoir à vos candidats, est un bon moyen d’attirer de nouveaux talents.

L’expérience employé doit être au cœur des préoccupations des employeurs car il s’agit de la vitrine de leur entreprise.

Les conséquences de l’expérience employé sur la marque employeur

Vos collaborateurs présents dans l’entreprise sont vos premiers ambassadeurs de marque. Ils sont en bonne position pour communiquer sur les réseaux professionnels ou de bouche-à-oreille de leur bonne expérience vécue au sein de l’organisation qui recrute.

L’effet boule de neige est enclenché : votre ambassadeur épanoui témoigne d’une marque employeur et d’une culture d’entreprise au beau fixe, ce qui donnera envie aux candidats de vous rejoindre.

N’hésitez pas à donner à vos collaborateurs de quoi communiquer clairement sur les réseaux sociaux à travers :

  • Des événements organisés.
  • Le souci du bien-être des salariés.
  • Des objectifs motivants.
  • Des chiffres pertinents et éclairants.
  • Des témoignages internes.

In fine, pour l’employeur, une bonne expérience employé, c’est une technique de sourcing candidat indirecte efficace et peu chère grâce à des salariés heureux qui le disent.

Les conséquences de l’expérience employé sur la rétention des talents en poste

La communication sur les réseaux galvanise la position de ceux qui la font et développe ainsi leur sentiment d’appartenance, de fierté de contribution au développement de leur entreprise. C’est aussi le reflet de leur travail qui est diffusé. La conséquence à tout cela, ce sont des salariés fidèles qui n’ont pas envie d’aller voir ce que la concurrence propose. On parle de rétention des talents.

Des salariés heureux au travail grâce à une expérience employé favorable, c’est une conséquence pour vous qui n’a pas de prix : des salariés qui n’ont pas envie de vous quitter, et donc une économie d’argent à la clé car pas de coût de recrutement immédiat à prévoir. 

Les conséquences de l’expérience employé sur les performances de l’entreprise

Une expérience employé réussie rend vos salariés heureux, épanouis, plus productifs. Ils sont plus enclins à apporter leur valeur ajoutée à l’entreprise dans le but de la faire croître. 

Ces performances accrues permettent à l’entreprise de toujours rester compétitive sur le marché du travail. Ce qui pérennise son avenir et sa croissance.

Quels sont les leviers à actionner pour obtenir une bonne expérience employé ?

En panne d’inspiration pour chouchouter vos collaborateurs et améliorer leur expérience employé ? Rassurez-vous, nous vous dévoilons nos meilleures idées.

Soigner la procédure d’embauche

La satisfaction client commence au premier contact, que ce soit pour un candidat ou un client externe. 

Le service ressources humaines est totalement engagé pour que cette expérience de recrutement se déroule au mieux. Il peut la personnaliser, distribuer des goodies adaptés, recevoir le candidat dans un lieu particulier en fonction du poste convoité par exemple ou encore l’inviter à une expérience client. Par exemple, une réduction pour un produit ou un service de la marque.

Travailler sur l’onboarding des nouveaux collaborateurs

L’intégration des nouveaux salariés, ou l’onboarding, est un moment unique qui révèle la suite du parcours et de l’expérience collaborateur qui se poursuivra. 

C’est un moment choisi, personnalisable, privilégié pour transmettre les valeurs et les projets de l’entreprise, ainsi que son mode de fonctionnement. 

Cultiver le sentiment d’appartenance des employés

Développer la culture d’entreprise est une priorité pour que les employés s’y sentent bien et y adhèrent. Pour cela, vous pouvez communiquer sur l’identité de l’entreprise, ses projets, sa stratégie, ses valeurs, ses priorités.

Une culture d’entreprise qui emporte l’adhésion du plus grand nombre d’employés permet de cultiver un précieux sentiment d’appartenance à celle-ci.

Célébrer les réussites des employés

Faire des feed back au quotidien et savoir marquer le coup pour célébrer les réussites de vos employs est primordial. 

La valorisation des salariés contribue à renforcer la bonne expérience professionnelle dans leur entreprise et donc leur motivation.

Adapter le management

La culture du management évolue. Le manager minute allie un management efficace et productif combiné au bien-être pour les collaborateurs et aux résultats pour l’organisation. 

Dans son équipe, le manager doit : 

  • Aider chacun à formuler ses objectifs en moins d’une minute.
  • Complimenter ses collaborateurs précisément selon la mission réalisée en une minute.
  • Formuler un reproche sur une erreur tout en l’expliquant et en rassurant sur les compétences et la confiance accordée en moins d’une minute.

Veiller à un bon équilibre vie professionnelle – vie personnelle des employés

L’équilibre vie pro – vie perso devient le fer de lance des nouveaux candidats.

Il doit se manifester par : 

  • Un lieu de travail identitaire et accessible.
  • Un environnement de travail agréable, un espace de restauration, une salle de repos, une salle de sport…
  • Un assouplissement des modes de travail, présentiel, distanciel, hybride.
  • Une adaptation du temps de travail au cas par cas.
  • Une volonté de s’inscrire dans une démarche de développement durable. 

Promouvoir la diversité et l’inclusion

Votre entreprise est à l’image de la société, les sujets de diversité et d’inclusion font partie du quotidien de chacun. 

Accueillir la différence et cultiver les notions d’équité sont essentiels pour cultiver une bonne expérience de vos employés.

Offrir une bonne communication aux collaborateurs

La communication claire et fluide est la clé de la réussite dans toutes les organisations. 

La transparence pour assurer vos collaborateurs de votre confiance et de votre implication dans leur parcours au sein de votre entreprise contribue à une bonne expérience chez vous.

N’hésitez pas à partager avec eux les projets et impliquez-les en amont des changements qui s’annoncent. Rien de pire que les ouï-dire, les rumeurs, les annonces de dernière minute. Elles n’ont d’autre effet que de provoquer un désengagement chez les employés et de les désolidariser de votre organisation.  

Expérience employé, ce qu’il faut retenir

Ne perdez jamais de vue la symétrie des attentions ! Faites à vos employés ce que vous aimeriez que l’on fasse pour vous ! 

L’expérience collaborateur doit être placée au même niveau que l’expérience client, tout simplement. 

Pour cultiver une bonne expérience employé, voici 8 actions concrètes à mettre en place dans votre entreprise : 

  1. Soigner votre process de recrutement.
  2. Travailler votre onboarding.
  3. Cultiver le sentiment d’appartenance et l’engagement des employés.
  4. Célébrer les réussites de vos salariés.
  5. Adapter le management aux pratiques professionnelles actuelles.
  6. Soigner l’équilibre vie professionnelle vie personnelle de vos employés.
  7. Promouvoir la diversité et l’inclusion.
  8. Communiquer clairement, souvent et en toute transparence.

En portant l’expérience employé au centre de vos priorités RH, les retours sur investissements se feront vite sentir sur la productivité de votre organisation. Vous verrez rapidement un impact sur les performances des collaborateurs. 

Plus qu’un mot à la mode, l’expérience emploi fait partie des outils de gestion efficaces des effectifs.

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Comment envisager une formation dans le cadre d’une reconversion professionnelle ?

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Vous souhaitez entamer une nouvelle carrière professionnelle et suivre le chemin de la reconversion ?

Stagiaire heureuse de suivre son cours

Une formation peut très souvent vous être utile et présente de nombreux avantages. Encore faut-il bien la cibler, l’entreprendre au bon moment, choisir le bon organisme et étudier son financement. Comment envisager une formation dans le cadre d’une reconversion professionnelle ? Découvrez nos réponses pour que cette étape de votre vie soit un succès.

Une formation est-elle obligatoire lors d’une reconversion professionnelle ?

Non, pas systématiquement. Le besoin en formation dépend de votre projet de reconversion professionnelle.

Plusieurs situations sont à distinguer.

Faites le point sur vos acquis

Avant de décider si une formation est à prendre en compte ou non dans votre parcours de reconversion professionnelle, il est fondamental de faire le point sur vos acquis. 

Pour cela, vous pouvez : 

  • Seul, lister vos compétences techniques (hard skills) et vos compétences comportementales (soft skills).
  • Accompagné d’un professionnel, faire un bilan de compétences. Vous passerez en revue vos centres d’intérêt, vos critères professionnels essentiels, vos savoir-faire et vos savoir-être. Généralement d’une durée de 24 heures, vous alternerez entre des phases de test et des phases d’entretien.
  • Pour les demandeurs d’emploi, Pôle emploi propose : 
    • Une formation à la reconversion professionnelle pour définir votre projet de formation. À l’issue de cet atelier d’1 journée, vous serez en mesure de définir les métiers qui vous plaisent, les compétences à acquérir, le diplôme à obtenir, les organismes de formation et les modes de financement. 
    • Une évaluation des compétences et des connaissances professionnelles (ECCP). Elle vous permettra de valider vos compétences et de les confronter au métier visé, d’identifier vos compétences transférables et de vous positionner sur une offre d’emploi sur laquelle vous avez postulé. Mais aussi de mettre en lumière vos besoins précis en formation professionnelle.

Vous possédez déjà les compétences nécessaires pour le nouveau poste visé

Une formation n’est pas toujours nécessaire. 

Pour reconnaître les compétences acquises lors de vos précédentes expériences professionnelles, vous pouvez demander une Validation des Acquis de l’Expérience (VAE). 

Bien qu’une formation ne soit pas exigée, vous pouvez toujours décider d’en suivre une. Par exemple, pour renforcer vos savoirs ou pour détenir une certification officielle.

Vous ne possédez pas déjà les compétences utiles pour exercer votre nouveau métier

Une formation reconnue est essentielle pour postuler à celui-ci et légitimer votre candidature

À quel moment la formation intervient-elle lors d’une reconversion professionnelle ?

Pour beaucoup de personnes en reconversion, la formation est un passage obligé. Mais avant de s’inscrire, il est important de bien cadrer son projet professionnel.

Étape 1 : Réfléchir à son projet de reconversion professionnelle

Vous ne changerez pas de voie en un claquement de doigts. Pour vous donner les meilleures chances de réussite, votre projet doit être mûrement réfléchi. Aussi bien dans les actions à mener que dans ses conséquences.

Interrogez-vous sur les raisons qui vous poussent à explorer un autre métier. Puis, confirmez que c’est bien une reconversion professionnelle que vous souhaitez engager. Parfois, il s’agit simplement de changer d’entreprise pour s’épanouir.

Bon à savoir : se reconvertir lorsqu’on est en CDI, c’est possible. Mais avant d’opérer votre virage à 360 degrés, mieux vaut peaufiner votre projet.

Étape 2 : Établir un plan d’action

Après avoir confirmé que c’est changement de métier que vous souhaitez entreprendre, vous devez établir un plan d’action pour mener à bien votre projet : 

  • Ciblez un secteur d’activité ou un métier comme but ultime de votre parcours.
  • Listez les conditions d’accès au métier.
  • Listez vos atouts, vos exigences pour votre prochain emploi.
  • Listez vos contraintes personnelles et familiales.
  • Listez vos besoins en formation et les organismes de formation les plus adaptés.
  • Étudiez vos possibilités de financement (elles diffèrent selon que vous soyez salarié ou demandeur d’emploi).
  • Assurez-vous que le métier visé vous assure des débouchés professionnels. Autrement dit, que les entreprises recrutent. Encore mieux, qu’il soit pénurique.
  • Définissez votre éventuel besoin d’accompagnement (coach en reconversion, conseiller en évolution professionnelle (CEP), accompagnement par Pôle emploi, bilan de compétences…).

Bon à savoir : certaines compétences informatiques sont particulièrement recherchées par les recruteurs.

Étape 3 : S’inscrire à une formation dans le cadre de la reconversion professionnelle

Si vous avez mis en lumière un besoin en formation pour votre futur métier, c’est le moment de vous inscrire à une session. 

Vérifiez que celle-ci est reconnue sur le marché de l’emploi et qu’elle vous apportera tous les savoirs nécessaires à votre recrutement futur.

Étape 4 : Valoriser sa nouvelle formation dans un CV

Savoir-faire c’est un prérequis, le faire savoir c’est tout aussi important.

Si votre changement de métier vous apparaît comme une évidence, la réciproque n’est pas toujours vraie chez les recruteurs. Vous allez nécessairement devoir expliquer les raisons de votre virage professionnel et fournir toutes les garanties de compétences possibles.

La qualité de votre formation et le diplôme obtenu sont fondamentaux.

Le CV est votre vitrine professionnelle. Il doit être à jour de votre reconversion et de votre formation. 

Listez également toutes vos expériences passées qui peuvent être liées à votre nouveau métier. Puis, mentionnez-les dans votre CV.

Bon à savoir : dans votre lettre de motivation puis lors de votre entretien d’embauche, votre objectif est de convaincre le recruteur que vous avez toutes les compétences nécessaires pour prendre le poste. Autrement dit, vous devez vous éloigner de l’étiquette de reconverti pour aller vers celle de talent à recruter.

Pourquoi faire une formation si vous changez de métier ?

Faire une formation vous apporte les avantages suivants : 

  • Acquérir de nouvelles compétences pour vous rendre immédiatement opérationnel sur le poste visé.
  • Monter en compétences si vous possédez déjà un socle de connaissances.
  • Développer son réseau professionnel. 
  • Apporter un regard neuf sur le fonctionnement d’une entreprise.
  • Des connaissances à jour des dernières évolutions dans le métier.
  • Bénéficier des entreprises partenaires de l’organisme de formation.

Vous l’aurez compris, ceux-ci sont importants lors d’une recherche de travail.

Combien de temps dure une formation pour se reconvertir ?

La durée de la formation peut s’étendre entre 1 semaine et 1 année. Voir plus. 

Elle dépend de plusieurs paramètres : 

  • Si vous travaillez en parallèle ou non.
  • Si vous la suivez à distance ou en présentiel.
  • De l’état de vos connaissances initiales.
  • Du diplôme ou de la certification visée.
  • Etc.

Où se former dans le cadre d’une reconversion professionnelle ?

La formation est un gage supplémentaire d’employabilité. Si vous ne possédez pas les compétences nécessaires, elle est le meilleur moyen pour vous accompagner sur le chemin d’une reconversion réussie.

Il existe de nombreux organismes de formation en France.

Les formations Pôle emploi

Pôle emploi propose de nombreuses formations dans un catalogue détaillé.

Renseignez-vous auprès de votre conseiller Pôle emploi.

Les formations dispensées par des organismes de formation

De nombreux organismes de formation comme Fitec proposent des formations qualifiantes aux salariés ou aux demandeurs d’emploi qui souhaitent se reconvertir. Il s’agit d’une formation continue.

Les cours sont dispensés en présentiel ou en ligne.

À l’issue de la formation, un diplôme ou une certification est remis afin d’attester des compétences et des savoir-faire de l’élève.

Bon à savoir : Fitec vous propose des formations au plus près des réels besoins du marché dans le domaine de l’IT et du digital. Par exemple, Gestion de projets digitaux, Cybersécurité, SIRH, formation SAP, technicien support informatique, Data analyst… Il existe toujours une bonne raison de se reconvertir dans les métiers du numérique. Renseignez-vous.

Les formations des universités et des grandes écoles

Elles délivrent des diplômes reconnus par l’État : Licence, Master, Doctorat, dans le cadre d’une formation continue pour les personnes en reconversion professionnelle.

Les formations métiers dispensées par les CCI

Les chambres de commerce et d’industrie (CCI) proposent des formations professionnelles aux salariés. 

Combien coûte une formation pour se reconvertir ?

Il n’existe pas de prix fixe et unique pour une formation. De nombreux paramètres entrent en jeu : 

  • L’intitulé de la formation.
  • La durée de la formation.
  • Le nombre d’intervenants. 
  • L’organisme de formation.
  • Le diplôme visé.
  • Les frais annexes comme le transport, la restauration ou l’hébergement. 

Au-delà du coût de la formation en elle-même, il est important d’évaluer la perte de salaire ou sa diminution. L’impact de la rémunération peut être non négligeable dans le quotidien.

Comment financer sa formation en reconversion professionnelle ? 

Si vous êtes salarié, plusieurs aides vous facilitent l’accès à la formation professionnelle pour acquérir de nouvelles compétences ou pour vous perfectionner dans votre domaine d’expertise : 

  • Le Compte Personnel de Formation (CPF) : il est alimenté par des heures de formation acquises lors de votre carrière. Le CPF peut être utilisé pour suivre une formation en présentiel ou à distance dans le cadre d’une reconversion professionnelle.
  • L’Association Transitions Pro dans le cadre du Projet de Transition Professionnelle (PTP). 
  • L’employeur, dans le cadre d’un Plan de Développement des Compétences (PDC).
  • Ses propres moyens.
  • Si vous êtes demandeur d’emploi, une aide spéciale peut être débloquée.

Bon à savoir : découvrez nos conseils pour réussir votre transition professionnelle dans le cadre du PTP.

Formation dans le cadre d’une reconversion professionnelle, ce qu’il faut retenir

Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Ce proverbe français illustre parfaitement la reconversion professionnelle.

Pour être couronnée de succès, des étapes sont indispensables pour mûrir son projet de métier. 

Selon la profondeur de votre virage et le travail visé, une formation peut être nécessaire. Ses avantages sont nombreux et vous permettent de vous lancer sur le marché du travail avec les meilleures armes.

Son coût et sa durée dépendent de nombreux paramètres. Il existe des aides pour vous aider à absorber son prix. Notamment, la mobilisation de votre CPF.

Si vous en ressentez le besoin, vous pouvez faire un bilan de compétences et vous faire accompagner par un professionnel de la reconversion pour vous aider dans vos choix.

Le chemin pour changer de métier est long et peut être parsemé d’embûches. Mais avec un peu d’organisation et en suivant les différentes étapes incontournables, vous atteindrez avec toute la patience requise le travail de vos rêves. Bonne formation ! 

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8 leviers efficaces pour un sourcing candidat réussi

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Vous vous demandez quelles stratégies de sourcing candidat mettre en place pour optimiser votre recrutement ?

Recruteur note une remarque pendant une soutenance

Le sourcing candidat est au cœur des préoccupations des recruteurs et des services RH. Dans un contexte de guerre des talents et de difficultés d’embauche, vous devez mettre toutes les chances de votre côté pour attirer des profils qualifiés. Quels sont les leviers efficaces à actionner pour un sourcing candidat réussi ? Découvrez nos meilleurs conseils.

Comment établir une stratégie de sourcing candidat efficace pour mieux recruter ?

Un sourcing candidat ne s’invente pas en un claquement de doigts. Pour être efficace, il résulte d’un processus mûrement réfléchi et doit suivre des étapes préalablement définies en interne : 

  1. Identifier le besoin en recrutement.
  2. Identifier le profil type du candidat.
  3. Sélectionner les leviers les plus efficaces pour atteindre vos objectifs.

La stratégie établie ne doit pas être figée. En fonction des résultats que vous obtenez, il est important d’apporter des correctifs pour qu’elle soit la plus efficace possible.

Quels sont les leviers à disposition des recruteurs pour un sourcing candidat efficace ?

Un levier est un mécanisme qui vous permet de repérer puis d’attirer les futurs talents de votre entreprise. En matière de recrutement, plusieurs sont efficaces.

1. Utilisez les jobboards pour sourcer vos candidats

Les jobboards sont des plateformes en ligne sur lesquelles les entreprises publient leurs offres d’emploi. Ils vous permettent de récolter des candidatures qualifiées pour pourvoir vos postes. 

Pour maximiser l’efficacité de ce levier de sourcing candidat, vous devez :

  • Rédiger des annonces attrayantes et précises.
  • Utiliser des mots-clés pertinents pour améliorer la visibilité de votre offre d’emploi.
  • Explorer activement les CVthèques des jobboards pour trouver des profils qui n’ont pas nécessairement postulé mais qui correspondent à vos critères.

2. Piochez dans une CVthèque les profils qui vous intéressent

Les CVthèques, fréquemment accessibles via les jobboards et les sites de recrutement, constituent des banques de données regroupant les CV de candidats qui ont soumis leur candidature dans l’objectif de trouver un emploi.

Pour optimiser ce levier et trouver des talents qui répondent à votre besoin en recrutement, vous devez :

  • Utiliser des filtres intelligents pour préciser vos critères de recherche. Par exemple, l’expérience professionnelle, la formation, les compétences spécifiques, la localisation géographique, etc.
  • Rechercher par mots-clés. Comme pour les moteurs de recherche, l’utilisation de mots-clés pertinents peut grandement améliorer l’efficacité de votre recherche pour trouver le bon profil. Identifiez les termes spécifiques liés au poste que vous cherchez à pourvoir et intégrez-les dans votre recherche. 
  • Analyser les profils trouvés. Regardez les expériences professionnelles antérieures, les compétences mentionnées, les réalisations notables, etc. Vous allez pouvoir évaluer rapidement la pertinence de chaque candidat.
  • Gérer votre CVthèque de façon proactive. Ne vous limitez pas à une seule recherche. Mettez en place un système de gestion qui vous permet de sauvegarder les profils intéressants, de les catégoriser en fonction de vos besoins actuels et futurs. Mettez régulièrement cette liste à jour.  

3. Sourcez vos candidats sur les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont des outils de sourcing puissants pour rechercher des candidats qualifiés. Explorez les profils professionnels sur LinkedIn, Twitter et autres plateformes pertinentes.

  • Sur LinkedIn, vous pouvez trier les candidats potentiels selon leurs compétences spécifiques. 
  • Sur X (nouveau nom de Twitter), vous pouvez utiliser des hashtags pertinents comme #TechTalent. 

Après avoir sourcé les profils intéressants, les réseaux sociaux professionnels vous permettent d’entrer facilement en relation avec eux. 

4. Dénichez de nouveaux candidats avec la cooptation

Les leviers de sourcing efficaces sont aussi indirects ! Quoi de mieux que vos salariés pour parler en bien de votre organisation et donner envie à leurs proches de postuler chez vous ? 

La cooptation s’avère être une source précieuse de profils qualifiés : 

  • Elle favorise l’engagement des salariés en les impliquant activement dans le processus de recrutement. Elle peut être un outil de fidélisation des salariés.
  • Elle permet de réduire les coûts associés au recrutement, tels que les frais d’agences de recrutement ou de publicité. 
  • Elle accélère le processus de recrutement en fournissant des candidats qualifiés plus rapidement.
  • Elle renforce la confiance des candidats cooptés.

5. Utilisez la marque employeur pour attirer de nouveaux profils

La marque employeur, c’est l’image qui est véhiculée de votre entreprise. Plus elle est bonne, meilleures sont vos chances d’attirer des profils intéressants. 

Il est donc primordial d’en prendre soin. Voici quelques conseils : 

  • Jouer la carte de la cohérence entre l’expérience que vous proposez à vos salariés et celles que vous relayez sur les réseaux sociaux.
  • Mettre en avant les atouts de votre organisation.
  • Travailler sur les valeurs de l’entreprise.
  • Veiller au bien-être des collaborateurs et à l’amélioration de leurs conditions de travail.
  • Communiquer sur les bonnes pratiques managériales de l’entreprise. 

En d’autres termes, vous devez particulièrement prendre soin de votre image et ne pas sous-estimer l’impact qu’une image terne, voire négative, peut laisser sur les candidatures à venir.

6. Participez à des job dating ou à des forums de l’emploi pour enrichir votre sourcing candidats

Les événements tels que les job dating et les forums de l’emploi offrent des opportunités uniques de rencontrer des candidats en personne. Et donc de créer du lien avec eux. Ce sont des leviers indirects de sourcing prometteurs.

7. Organisez des partenariats avec les écoles et les facs pour un sourcing candidat proactif

Établissez des partenariats avec des établissements éducatifs ou des organismes de formation pour accéder à des candidats motivés dès le début de leur carrière. Vous aurez ainsi la possibilité de parler de vous et de ce que propose l’entreprise. 

Cette approche proactive est bénéfique sur le long terme. Le jour où les étudiants entreront sur le marché du travail, ils penseront à vous.

8. Faites appel à un cabinet de recrutement pour déléguer le sourcing candidat

Si le temps, les compétences ou les ressources manquent, externaliser le sourcing des candidats à un cabinet de recrutement peut être une solution efficace.

Vous pourrez ainsi profiter de leur vivier de candidats potentiels et vous gagnerez du temps dans le processus de recrutement.

Sourcing de candidats, ce qu’il faut retenir

Le sourcing candidat est un élément clé du recrutement en entreprise.

Pour recruter plus de candidats, vous pouvez : 

  1. Utiliser les jobboards.
  2. Piocher des CV dans les CVthèques.
  3. Chercher des profils sur les réseaux sociaux.
  4. Mettre en place la cooptation dans l’entreprise.
  5. Prendre soin de votre marque employeur.
  6. Participer à des job dating.
  7. Organiser des partenariats avec les écoles et les centres de formation.
  8. Faire appel à des spécialistes du sourcing candidats.

En combinant judicieusement ces 8 leviers, vous pourrez maximiser l’efficacité de vos processus de recrutement et trouver les talents dont votre entreprise a besoin.

Restez à l’affût des nouvelles tendances et ajustez votre stratégie en fonction de l’évolution du marché de l’emploi.

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Pourquoi suivre une formation SAP ?

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SAP est l’un des plus grands éditeurs de logiciel au monde. Suivre une formation pour maîtriser leur solution vous assure un emploi stable sur un marché en pénurie de talent.

Apprenants à l'écoute pour une ouverture_

Vous hésitez à suivre une formation SAP ? Vous ne savez pas si vous trouverez facilement du travail après avoir suivi ce type de module ? Nous vous rassurons tout de suite. La maîtrise des outils informatiques, notamment le logiciel SAP, est cruciale pour les entreprises cherchant à rester compétitives. En quoi une formation SAP peut-elle transformer votre carrière et contribuer à la révolution numérique de votre entreprise ? Quels sont pour vous les avantages à suivre une formation SAP ? Comment obtenir une certification SAP ? Qui propose ce type de formation ? Découvrez nos réponses. 

C’est quoi SAP en informatique ?

SAP, acronyme de Systemanalyse Programmentwicklung, est un éditeur de logiciels ERP (Enterprise Resource Planning), aussi connu sous le nom de PGI (Progiciel de Gestion Intégré).

En allemand, SAP peut se traduire par développement de programmes d’analyse de système. En d’autres termes, SAP est un système d’information qui permet de gérer et d’optimiser les services d’une entreprise, contribuant ainsi à la transformation digitale de celle-ci.

SAP est bien plus qu’un simple logiciel. Il s’agit d’une solution complète qui englobe divers modules couvrant notamment : 

  • La gestion financière.
  • La logistique.
  • Les ressources humaines.
  • La gestion de la chaîne d’approvisionnement.
  • La comptabilité.
  • La gestion des données… 

C’est quoi une formation SAP ?

Une formation SAP, comme son intitulé l’indique, permet de former la personne à la solution SAP. C’est-à-dire qu’elle soit opérationnelle dans l’utilisation de l’interface utilisateur.

Mais elle ne se limite pas à cet apprentissage. Plus largement, la formation SAP donne une vision d’ensemble aux étudiants permettant de mieux comprendre et de mieux maîtriser les processus de conduite du changement des entreprises.

Les formations SAP se déclinent en divers modules. Chaque module se concentre sur un aspect spécifique de l’entreprise. Par exemple, les achats, les ventes, la logistique, la finance, les ressources humaines et bien d’autres.

Pourquoi les entreprises s’équipent-elles d’un système SAP ?

Les entreprises françaises, européennes et mondiales choisissent de se doter d’un système SAP pour les principales raisons suivantes : 

  • Sa capacité à améliorer leur efficacité opérationnelle.
  • Sa capacité à rationaliser leur processus métier.
  • Sa capacité à offrir une visibilité accrue sur l’ensemble de leurs activités.

Très concrètement, le système SAP permet à l’entreprise d’avoir : 

  • Une gestion centralisée des données.
  • Une automatisation de certaines tâches.
  • Une optimisation des flux de travail.
  • Une prise de décision basée sur des données en temps réel.

Quels sont les avantages à suivre une formation SAP ?

Plusieurs raisons légitimes expliquent l’engouement pour les formations SAP.

1. Les produits SAP sont très populaires

On l’a vu plus haut, les raisons qui poussent les entreprises à choisir un SAP sont nombreuses. Cela en fait un choix incontournable pour celles qui souhaitent rester compétitives dans un environnement commercial en constante évolution.

En vous formant au SAP, vous trouverez forcément une entreprise près de chez vous qui a besoin de vos compétences SAP.

2. Les salariés ayant suivi une formation SAP sont très demandés

Par le jeu des vases communicants, plus les entreprises font le pari du logiciel SAP, plus elles ont besoin d’une main-d’œuvre formée pour le manier.

La demande de professionnels possédant des compétences SAP est en constante croissance. Pour preuve, il vous suffit de taper ce mot-clé sur les moteurs de recherche de différents jobboard. Vous verrez, les offres d’emploi sont nombreuses.

En tant que candidat à l’embauche, une formation SAP est un gage d’employabilité, ouvrant des portes à diverses opportunités de carrière passionnantes.

3. Les formations SAP sont variées

L’offre de formation SAP est variée sur le marché. Elle s’adapte à votre niveau initial et à vos connaissances.

Par exemple, Fitec propose une gamme variée de formations SAP, chacune se concentrant sur des domaines spécifiques : 

  • Formation SAP Achats : pour ceux qui souhaitent maîtriser la gestion des achats, optimiser les relations fournisseurs et réduire les coûts.
  • Formation SAP Vente : axée sur la gestion des ventes, la gestion des clients et la maximisation des revenus.
  • Formation consultant SAP logistique : pour ceux intéressés par la gestion de la chaîne d’approvisionnement, l’optimisation des stocks et la logistique efficace. 
  • Formation consultant SAP finance : elle se concentre sur la gestion financière, la comptabilité et l’analyse des données financières.
  • Formation SAP End-User Finance : destinée à ceux qui souhaitent maîtriser les processus financiers de l’entreprise.

Comment se former au logiciel SAP ?

Pour apprendre à bien manier les logiciels SAP, vous ne passerez pas à côté d’une bonne formation.

Cette dernière peut être suivie de différentes manières, selon vos préférences et votre emploi du temps.

Les options possibles comprennent des formations en ligne, des cours en présentiel et même des formations à distance.

Comment obtenir la certification SAP ?

Pour obtenir la certification SAP, vous pouvez vous inscrire à des programmes de formation accrédités dispensés par des formateurs expérimentés. 

Par exemple, le centre de formation Fitec dispense des formations certifiantes de 90 heures (toutes enregistrées par France Compétences).

La certification, délivrée à l’issue de vos heures de formation, valide vos compétences et renforce votre crédibilité en tant que professionnel SAP. 

Bon à savoir : vous pouvez financer votre formation et votre certification à l’aide de votre Compte Personnel de Formation (CPF), ce qui en fait un investissement rentable dans votre carrière.

Quelles sont les évolutions de carrière possible quand on maîtrise un logiciel SAP ?

Une fois que vous avez acquis des compétences SAP, de nombreuses opportunités de carrière en entreprise s’offrent à vous. 

Vous pourriez devenir consultant SAP, un rôle qui consiste à conseiller les entreprises sur la meilleure utilisation de SAP pour atteindre leurs objectifs commerciaux. Cela leur permet d’optimiser l’administration de leurs processus, ​​et ainsi améliorer la qualité de leurs opérations.

De plus, il existe d’autres carrières liées aux ERP, comme consultant ERP, expert technique Oracle, analyste métier, ou même gestionnaire de projet

En tant qu’expert SAP, vous pouvez évoluer vers des postes de gestion et de direction, où vous utiliserez vos compétences pour optimiser les opérations de l’entreprise et maximiser ses profits.

Formation SAP, ce qu’il faut retenir

Une formation SAP est un atout majeur pour quiconque souhaite contribuer à la transformation digitale des entreprises.

Les avantages sont nombreux, des perspectives d’emploi solides et un large éventail de formations disponibles.

Investir dans une formation SAP est un pas en avant vers une carrière stimulante et en constante évolution. Son financement est possible avec le CPF.

Selon vos disponibilités, vous pouvez opter pour une formation en présentiel ou à distance. Selon votre niveau initial, vous trouverez toujours un module de cours adapté.

À l’issue de vos heures de formation, vous recevrez une certification, gage de vos compétences acquises.

Les compétences SAP sont hautement transférables, ce qui vous ouvre la porte à une variété d’opportunités professionnelles, que vous soyez un demandeur d’emploi ou un professionnel en gestion.

Les solutions SAP, les logiciels SAP, les SAP businessobjects et les opérations ERP deviennent rapidement des éléments incontournables de la gestion moderne des entreprises.

Bonne formation !

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8 conseils pour réussir sa transition professionnelle

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Parce que vous vous apprêtez à prendre un virage à 180°… Voici nos meilleurs conseils pour que votre transition professionnelle soit une réussite !

RH qui prend des nouvelles des différents services

Changer de métier, vous en rêvez ? ​​La transition professionnelle, synonyme de reconversion et d’épanouissement dans sa nouvelle vie professionnelle, peut s’inscrire dans le cadre d’un Projet de Transition Professionnelle (PTP) ou du Compte Personnel de Formation (CPF). Ces dispositifs du droit français permettent à un salarié de demander une autorisation d’absence à son employeur pour suivre une formation certifiante en vue d’opérer une reconversion. Cependant, pour que cette transition soit couronnée de succès, une préparation minutieuse de votre projet est essentielle. De l’identification des raisons profondes qui motivent votre envie de transition professionnelle à la bonne préparation de votre dossier PTP, cet article vous propose 8 conseils pour réussir votre transition professionnelle.

1. Identifier les raisons profondes qui motivent votre envie de transition professionnelle

Avant de vous lancer dans une transition professionnelle, il est crucial de réaliser un travail d’introspection. 

Pour cela, posez-vous les bonnes questions pour identifier les raisons qui motivent ce changement

Pourquoi ai-je envie de changer de voie ? Qu’est-ce qui me motive ?

Il n’existe pas de bonne ou de mauvaise réponse à cette interrogation. Les raisons d’un changement de vie peuvent être nombreuses : 

  • Recherche d’un meilleur équilibre entre votre vie professionnelle et personnelle.
  • Quête de sens au travail.
  • Envie d’avoir un salaire plus élevé.
  • Quitter le statut de salarié.
  • Changer d’entreprise car ses valeurs ne sont plus les vôtres.

Comprendre vos motivations est la première étape essentielle pour une transition professionnelle réussie.

2. Faire le point sur ses attentes prioritaires et secondaires dans son nouveau travail

Après avoir listé les raisons qui motivent votre transition professionnelle, il est important de les hiérarchiser.

Toutes ne sont peut-être pas à mettre au même plan.

Déterminez ce que vous recherchez en priorité dans votre reconversion professionnelle. Vous pouvez tout simplement les lister en les numérotant du plus important au moins important. 

En identifiant vos attentes prioritaires, vous serez mieux préparé pour choisir la voie qui vous convient le mieux et accepter les compromis nécessaires.

3. Sélectionner le travail ou le secteur d’activité de transition qui vous correspond

Trouver la transition professionnelle parfaite implique de trouver l’équilibre entre vos désirs personnels et la réalité du marché du travail

Faites une liste des secteurs ou des métiers qui pourraient vous intéresser en fonction de vos compétences et de vos passions.

N’hésitez pas à solliciter l’aide de votre réseau professionnel. Il sera le mieux placé pour répondre à vos questions et parler des implications concrètes de leurs métiers.

4. Se faire aider en cas d’incertitude sur la transition professionnelle à réaliser

Si vous êtes incertain quant à la meilleure transition professionnelle à entreprendre, ou si vous vous sentez perdu dans l’accomplissement des premières démarches, il existe plusieurs leviers pour vous aider

Par exemple : 

  • Réaliser un bilan de compétences.
  • S’entourer d’un coach de carrière.
  • Solliciter le conseil en évolution professionnelle (CEP).

Osez solliciter l’aide des experts en transition professionnelle. Ils vous donneront de nombreux conseils et pourront vous accompagner tout au long de votre parcours.

Bon à savoir : vous pouvez financer votre bilan de compétences avec votre Compte Personnel de Formation (CPF). Le recours au CEP est gratuit.

5. S’assurer des besoins du marché du travail avant de changer de voie

Avant de prendre la décision définitive de changer de carrière, assurez-vous de bien comprendre les besoins actuels du marché du travail

Explorez les opportunités d’emploi dans le secteur ou le métier que vous visez et anticipez les éventuelles évolutions.

Vous pouvez par exemple regarder le nombre d’offres d’emploi disponibles concernant les fonctions que vous visez. Si elles sont nombreuses, c’est plutôt bon signe. Pour comprendre les enjeux à venir sur le poste ciblé, n’hésitez pas à interroger directement des salariés déjà en poste. Ils seront les mieux à même de vous parler de leur métier, vécu de l’intérieur. 

En effet, il serait décourageant d’opter pour un métier dont l’avenir professionnel est incertain ou totalement bouché. Vous risqueriez de dépenser du temps, de l’argent et de l’énergie pour ne pas atteindre l’objectif fixé.

Bon à savoir : Transitions Pro liste les métiers qui recrutent en 2023 par région. N’hésitez pas à aller consulter le site.

6. Lister les organismes sérieux de formation professionnelle

Dans le cadre de votre transition professionnelle, il est essentiel de choisir une formation certifiante et de rechercher des organismes de formation sérieux

Assurez-vous que la formation permette l’utilisation de votre CPF.

Bon à savoir : Fitec propose de nombreuses formations certifiantes de 57 jours pour vous reconvertir vers les métiers du numérique, en alternance, upskilling et reskilling. Si vous avez toujours rêvé de devenir product owner, consultant CRM ou développeur, c’est le moment de vous lancer.

7. Évaluer le coût de votre transition professionnelle

Lorsque vous envisagez une transition professionnelle, il est crucial d’évaluer l’impact financier que cela aura sur votre situation. 

Dans le cadre du Projet de Transition Professionnelle (PTP) réalisé sur le temps de travail, vous pouvez bénéficier d’une rémunération égale à un pourcentage de votre salaire moyen de référence. Votre rémunération pendant cette période de transition est prise en charge par les Commissions Paritaires Interprofessionnelles régionales (CPIR). 

Votre dossier de demande de financement doit être déposé auprès de l’Association Transitions Pro de votre lieu de résidence. Pour que la commission dédiée valide votre projet et le finance, vous devez remplir 3 conditions essentielles :

  • Avoir un projet de changement de métier ou de profession cohérent : votre projet de reconversion doit être clairement défini et correspondre aux besoins du marché du travail. Il doit être en adéquation avec vos compétences et vos aspirations professionnelles.
  • Présenter un parcours de formation et des modalités de financement pertinents : votre parcours de formation doit être bien structuré, certifiant et adapté à votre projet. Vous devrez également expliquer comment vous comptez financer votre action de formation, que ce soit par le biais de votre CPF de transition, d’une aide financière externe, ou d’autres ressources.
  • Donner accès à des perspectives d’emploi : votre transition professionnelle doit ouvrir des perspectives d’emploi concrètes. Vous devrez démontrer que votre nouvelle carrière a des débouchés sur le marché du travail. 

Après examen, si votre dossier est accepté, vous pourrez bénéficier d’une rémunération pendant votre période de transition. 

Cependant, notez que malgré cette rémunération, il peut y avoir une réduction de vos revenus par rapport à votre salaire précédent. Avant de vous engager dans une transition professionnelle, il est essentiel de bien évaluer cette baisse de salaire potentielle et de vous assurer le plus tôt possible que vous êtes en mesure de faire face aux conséquences financières de ce changement.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à contacter votre Transitions pro en région

8. Bien préparer son dossier de PTP

La réussite de votre transition professionnelle dépend en partie de la qualité de votre dossier de PTP. Plus il est soigné et étoffé, plus vous avez de chances d’obtenir le financement nécessaire pour votre transition professionnelle.

Dans votre espace personnel du site internet de Transitions Pro, vous pouvez télécharger les documents nécessaires pour constituer votre dossier de PTP. Assurez-vous de fournir tous les détails de votre contrat de travail actuel et de la formation que vous envisagez.

N’hésitez pas à donner des détails sur comment vous prévoyez de gérer cette période de transition. Ils peuvent renforcer votre dossier de PTP. 

Assurez-vous que votre dossier démontre la cohérence de votre projet de changement de métier, présente un parcours de formation pertinent, et ouvre des perspectives d’emploi.

Voici quelques exemples concrets de ce que vous pourriez inclure dans votre dossier :

  • Description détaillée de votre projet de reconversion. 
  • Lettre de motivation.
  • Parcours de formation envisagé (durée, programme et organisme).
  • CV mis à jour. 
  • Lettre de recommandation ou prises de références en entreprise (ancien employeur).
  • Plan financier.
  • Étude de marché.
  • Preuves de cohérence (compétences transférables, expériences pertinentes, ou passions personnelles en lien avec votre projet de transition).
  • Témoignages de personnes qui ont réussi une transition similaire ou qui soutiennent votre projet.

Transition professionnelle, ce qu’il faut retenir

La transition professionnelle est un processus complexe, mais avec la préparation adéquate, elle peut mener à une vie professionnelle épanouissante. 

En suivant ces 8 conseils, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour réussir votre transition et atteindre vos objectifs de reconversion professionnelle.

Gardez toujours en tête qu’une reconversion professionnelle en CDI est possible ! 

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Combien coûte réellement un recrutement en France ?

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Et si l’on faisait un état des lieux de ce que coûte à une entreprise en France d’embaucher un nouveau collaborateur ? Découvrez nos chiffres ainsi que nos conseils pour diminuer ces coûts.

Formatrice ravie de retrouver ses apprenants

Vous vous demandez quel est le coût de vos différents recrutements dans l’entreprise ? Les frais attachés à l’embauche d’un collaborateur peuvent considérablement varier d’un employeur à un autre, mais aussi d’un secteur d’activité ou d’un métier à un autre. Mal maîtrisés, ils peuvent avoir de lourdes conséquences. Combien coûte réellement un recrutement en France ? Nos réponses.

Pourquoi le recrutement a-t-il un coût ?

Recruter engendre nécessairement des frais puisqu’une démarche est mise en place pour trouver le talent de demain. Il s’agit alors d’acheter du matériel nécessaire pour mener le recrutement. Mais aussi de payer les salaires de ceux qui seront en charge de la bonne marche de ce processus de recrutement.

Les frais de recrutement peuvent être liés : 

  • Au paiement des salaires de la main-d’œuvre chargée de trouver les talents de demain à payer.
  • Aux efforts financiers à déployer pour convaincre un talent de venir travailler dans l’entreprise. D’autant plus si le métier est en tension.
  • Aux fournitures nécessaires (stylos, encre, connexion internet, dépenses d’électricité ou de chauffage…).
  • Au temps passé à sourcer, préparer l’entretien d’embauche, établir les contrats de travail…

Ces coûts importants liés au recrutement se retrouvent à toutes les étapes du process.

La recherche de candidats

Les employeurs doivent investir dans la recherche de candidats qualifiés pour leurs recrutements. 

Les frais de publication d’annonces d’emploi peuvent varier de 300 à 1 000 euros pour une diffusion nationale sur une période donnée (selon les jobboards et outils utilisés, mais aussi le nombre d’annonces diffusées).

L’étape du sourcing demande de nombreuses heures de travail. Elle mobilise du temps Homme et entraîne donc un coût.

La présélection des profils 

La présélection des candidats implique des dépenses de temps et de matériels pour trier les CV, évaluer les candidatures et effectuer des tests de compétences. Et donc un coût.

Les entretiens d’embauche

Les frais associés aux face-à-face avec le candidat (pour un recrutement externe ou interne) comprennent les coûts de déplacement et de logement des candidats, ainsi que les dépenses liées à l’organisation de l’entretien

Ils sont d’environ 130 euros par jour.

La formation des nouveaux salariés

La formation d’un nouveau salarié implique des coûts significatifs. 

D’après une étude publiée par la Direction de l’Animation de la Recherche, des Études et des Statistiques (Dares) en août 2022, les dépenses de formation des entreprises augmentent avec leur taille : 

  • De 2,0 % de la masse salariale pour les entreprises de 10 à 49 collaborateurs.
  • À 4,0 % pour celles de 2 000 collaborateurs ou plus.

Les erreurs de recrutement

Les erreurs de recrutement ont des conséquences financières et réputationnelles importantes (V. plus en détail ci-dessous).

Quels sont les frais de recrutement pour une entreprise ?

Le recrutement de nouveaux talents est une étape cruciale pour les entreprises, également associé à des coûts significatifs.

Quels sont les coûts directs du recrutement ?

Voici une liste des coûts directement engendrés par le recrutement de nouveaux salariés. 

Les dépenses liées à la recherche de candidats

La diffusion des annonces d’emploi et les frais de publication sont des coûts engagés par les entreprises pour diffuser leurs offres d’emploi sur des plateformes en ligne, des sites spécialisés ou dans des journaux.

Le cas échéant, les employeurs peuvent choisir de déléguer le recrutement. Des frais d’agences de recrutement et de chasseurs de têtes sont alors engendrés. Les honoraires sont calculés le plus souvent sur un pourcentage appliqué sur le salaire annuel brut du candidat.

Si le recrutement est internalisé, le temps passé par les services des ressources humaines à sourcer les candidats a également un coût. On parle de temps Homme.

Les dépenses liées à la présélection des profils

Le tri des CV et l’évaluation des candidatures impliquent des coûts tels que le temps passé par les recruteurs à examiner les candidatures, à sélectionner les profils pertinents et à établir une première présélection.

Les dépenses liées aux entretiens

L’organisation matérielle des entrevues (locaux, fourniture, dépenses d’énergie…) et le temps investi par les recruteurs sont également des coûts directs.

Quels sont les coûts indirects de recrutement ? 

Les coûts indirects de recrutement désignent les dépenses associées au processus de recrutement qui ne sont pas directement mesurables ou facilement quantifiables.

La perte de productivité

Pendant toute la durée du recrutement, les salariés chargés de la sélection et de l’évaluation des candidats peuvent y consacrer un temps plus important, notamment si le métier est en tension

Et par le jeu des vases communicants, moins de temps à d’autres de leurs tâches habituelles.

Les formations supplémentaires

Lorsqu’un nouveau talent est recruté, une formation peut être nécessaire pour lui permettre de mieux s’adapter au poste et aux exigences spécifiques de l’entreprise.

L’intégration d’un nouveau collaborateur dans l’équipe

L’onboarding nécessite du temps et des ressources pour faciliter l’adaptation de la nouvelle recrue à la culture d’entreprise, aux process internes et aux relations professionnelles.

Le turnover

Un recrutement échoue si le jeune collaborateur quitte rapidement son employeur. Son départ entraîne des coûts supplémentaires liés à la recherche d’un remplaçant et à la répétition des étapes de recrutement.

Il peut aussi affecter le moral d’une équipe qui se retrouve avec une surcharge temporaire de tâches à effectuer.

La réputation de l’entreprise

Un mauvais recrutement ou des choix de candidats inadaptés peuvent avoir un impact négatif sur la réputation de la société. Ce qui peut entraîner des conséquences financières à long terme puisqu’elle peut perdre en attractivité.

Comment calculer le coût d’un recrutement ?

Pour calculer le coût d’un recrutement, vous devez additionner tous les postes de dépenses liés au processus de recrutement.

Coût d’un recrutement = coûts directs + coûts indirects.

En additionnant tous ces frais, vous obtenez le coût moyen du recrutement. Il est nécessaire pour évaluer le budget global qui doit être alloué au recrutement dans l’entreprise.

Quel est le coût d’un recrutement en moyenne ?

Il est impossible de donner une moyenne ou une fourchette du coût moyen d’un recrutement car il dépend de trop de paramètres propres au marché du travail et aux spécificités de l’employeur.

Quel est le coût d’un recrutement raté ?

Un recrutement malheureux peut engendrer des répercussions financières et opérationnelles considérables pour votre entreprise.

Notamment : 

  • Une diminution de la rentabilité de l’organisation en raison de la baisse de productivité et des coûts supplémentaires engagés pour corriger la situation.
  • Des dépenses supplémentaires telles que la relance du processus de recrutement.
  • Perturber le fonctionnement quotidien de l’entreprise, entraînant des retards, des erreurs et une baisse de la qualité du travail. 
  • Impacter la marque employeur.

Notre conseil : n’hésitez pas à mettre en place des KPI de recrutement.

Conclusion

En comprenant les coûts réels d’un recrutement raté, les RH de l’entreprise peuvent prendre des décisions éclairées et mettre en place des processus de recrutement plus efficaces, contribuant ainsi à la réussite à long terme de leur organisation.

En investissant dans des pratiques de recrutement solides, les RH assurent la continuité et la compétitivité de la structure en évitant les coûts inutiles et en garantissant l’acquisition de talents de qualité.

Manageur heureuse

Infographie – Comment attirer les profils IT ?

Pour bon nombre d’entreprise, il devient de plus en plus difficile d’attirer de nouveaux talents dans l’IT. Prisés pour leurs compétences spécifiques, ces profils d’expert en informatique sont de plus en plus exigeants. La pénurie d’individus qualifiés et opérationnels complique d’autant plus la tâche des recruteurs…

 

Conditions de travail, avantages, salaires… Comment convaincre les prodiges du numérique de rejoindre vos rangs ? Découvrez dans notre infographie nos meilleurs tips pour recruter plus facilement vos prochains collaborateurs en IT.

Je découvre l’infographie
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Comment réussir à monter en compétence en entreprise ?

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Comment réussir à monter en compétence en entreprise ? Pour évoluer avec succès, découvrez nos 4 conseils.

Une collaboratrice ravie de présenter une nouvelle formation

Vous en avez marre de faire du sur-place dans votre entreprise et vous souhaitez évoluer comme les autres collaborateurs ? Dans le jargon des ressources humaines, on parle de la montée en compétence d’un salarié. Celle-ci signifie concrètement que des compétences techniques et/ou comportementales acquises vous permettent d’accéder à un emploi hiérarchiquement supérieur ou de vous voir confier de nouvelles tâches. Si votre objectif est de diversifier vos soft skills et vos hard skills pour monter en compétence dans votre organisation, ou chez un autre employeur, nos 4 conseils vont vous y aider. Bonne lecture ! 

1er conseil : avoir envie de monter en compétences et le faire-savoir

Pour monter rapidement et efficacement en compétence, tout commence par votre motivation. C’est-à-dire que vous devez opter pour un comportement proactif et faire-savoir auprès de votre entourage professionnel que vous êtes motivé à enrichir votre palette de compétences.

Pour cela, vous devez vous renseigner sur : 

  • Les évolutions possibles dans votre profession : 
    • Les évolutions verticales : quel est le travail hiérarchiquement supérieur au vôtre ?
    • Les évolutions horizontales : quels sont les autres métiers que vous pouvez exercer avec des compétences supplémentaires ? Comment diversifier vos tâches sur votre fonction ?
  • Les compétences techniques (hard skills) ou les compétences comportementales (soft skills) que vous pourriez acquérir.
  • Les formations nécessaires.
  • Les évolutions technologiques à venir.

Lorsque vous avez défini votre projet professionnel, c’est le moment d’en parler avec votre manager ou avec votre service des ressources humaines. Vous pourrez ensemble établir un plan de développement de vos compétences pour concrétiser votre évolution professionnelle.

Par exemple, les entretiens individuels de fin d’année entre manager et collaborateur (ou de début d’année selon les entreprises) sont le moment idéal pour faire part de votre souhait de monter en compétences l’année suivante. 

Avec un projet bien défini en amont, vous témoignerez de votre motivation et de votre réel engagement.

2e conseil : identifier ses points forts et ses faiblesses professionnels pour monter en compétence

Une montée en compétence ne se réalise pas du jour au lendemain. Comme son nom l’indique, elle nécessite une certaine progression dans vos aptitudes professionnelles. En d’autres termes, vous partez d’un stade de départ, vos compétences actuelles, pour arriver à un point d’arrivée, des compétences nouvelles.

Pour une montée en compétence réussie et qui porte ses fruits, vous devez alors identifier vos points forts et vos faiblesses. C’est bien évidemment sur ces dernières qu’il faudra travailler pour atteindre le but que vous vous êtes fixé.

Vos faiblesses peuvent représenter des savoirs existants, à consolider. Mais aussi des connaissances nouvelles à acquérir.

Si vous avez du mal à faire le point sur l’étendue de vos compétences, n’hésitez pas à vous faire aider. Le bilan de compétences est l’outil idéal pour vous permettre d’y voir plus clair. En quelques heures, il vous permettra d’avoir un vue d’ensemble et plus fine de ce qu’il vous manque pour monter en compétence. C’est un accompagnement fiable et efficace pour y voir plus clair sur votre avenir professionnel.

Vous pouvez aussi demander à votre manager de vous évaluer objectivement sur votre poste actuel. Par exemple, sur vos apprentissages récents, sur la maîtrise d’outils, sur une performance accomplie, sur votre travail en équipe…

Bon à savoir : vous pouvez financer votre bilan de compétence avec votre CPF. 

3e conseil : suivre les formations nécessaires pour réussir sa montée en compétences

Dès que vous connaissez votre objectif final, c’est-à-dire le point d’arrivée de votre progression professionnelle, il est fondamental d’identifier les chemins pour y parvenir.

La formation professionnelle est le moyen le plus efficace pour y arriver. C’est le principe même de l’upskilling. C’est-à-dire le renforcement de vos compétences existantes par la formation continue. Le préfixe UP parle de lui-même, puisqu’il est synonyme de montée en compétence !

De nombreux organismes de formation proposent des formations courtes et certifiantes pour vous permettre d’acquérir ou de renforcer des compétences et de les utiliser pour évoluer dans votre entreprise.

En fonction de ce que vous aurez prévu avec votre employeur dans le cadre du plan de développement de vos compétences, votre formation pourra être suivie en interne. Y compris, si votre employeur est d’accord, sur votre temps de travail. 

Par exemple, les formations certifiantes de Fitec, finançables avec le CPF, vous accompagnent vers les emplois porteurs de la tech.

Dans le cas inverse, vous pourrez toujours suivre vos cours sur votre temps libre. Voire demander un projet de transition professionnelle (PTP) à votre entreprise, si vous en remplissez les conditions. Renseignez-vous auprès de votre service des ressources humaines.

Bon à savoir : vous pouvez aussi demander une Validation de vos Acquis de l’Expérience (VAE).

4e conseil : être patient, on ne monte pas en compétences du jour au lendemain

On ne monte pas en compétence du jour au lendemain. Il vous faut un temps nécessaire pour élargir vos connaissances. Les apprentissages peuvent être longs. Munissez-vous d’une bonne dose de patience ! 

Pour vous donner un maximum de chance de réussir dans votre projet et pour garder une motivation intacte tout le long, assurez-vous que les objectifs fixés sont réalisables.

Pour le vérifier, vous pouvez utiliser la méthode SMART. C’est-à-dire que vos objectifs professionnels doivent tous être : 

  • Spécifiques.
  • Mesurables.
  • Atteignables.
  • Réalistes.
  • Définis dans le Temps.

Si ça n’est pas le cas, c’est le moment de les réajuster et de revoir votre stratégie, pour ne pas perdre un temps inutile. Mais aussi pour ne pas vous décourager rapidement.

N’hésitez pas à régulièrement faire des points d’étape avec les RH de l’entreprise ou avec votre manager. Mais aussi avec les autres collaborateurs, par exemple des collègues de votre équipe. Ils vous permettront de voir où vous en êtes dans votre parcours de formation, de constater les avancées, d’améliorer la gestion d’un stress ou d’une impatience. Et disons-le, de vous rebooster en cas de déprime passagère. Un temps de formation est forcément prenant et engageant, des rendez-vous réguliers avec votre manager ou les ressources humaines permettent de mieux se rendre compte de sa progression.

Une fois vos objectifs atteints et validés, c’est le moment de montrer vos nouvelles performances à votre employeur et de discuter des conséquences professionnelles (évolution de carrière, nouveau poste, nouveaux objectifs, équipe agrandie, ressources supplémentaires, management de collaborateurs…).

Notre conseil : pour réussir une montée en compétence, la communication fait partie des clés de la réussite. N’oubliez pas que c’est le rôle des ressources humaines de votre entreprise d’accompagner le développement des collaborateurs.

Ce qu’il faut retenir sur la montée en compétence d’un salarié dans l’entreprise

Dans un marché de l’emploi tendu, les employeurs sont de plus en plus enclins à favoriser la montée en compétence de leurs collaborateurs. L’objectif est de conserver les salariés talentueux et motivés en leur permettant de se diversifier. In fine, de retenir les talents.

Si vous avez envie d’évoluer au sein de votre entreprise, c’est le moment d’en parler avec votre manager. Vous pourrez ensemble évaluer vos atouts et vos faiblesses, faire le tour des évolutions possibles, lister les formations qui seraient nécessaires pour vous aider à atteindre votre objectif final.

La clé du succès réside : 

  • Dans le suivi d’une formation adéquate.
  • Dans l’organisation de points réguliers avec l’entreprise pour conserver intact votre motivation. 

Et pour finir, ayez confiance en vous !

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7 astuces sérieuses pour renforcer l’attractivité de sa marque employeur

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Stagiaire en pleine présentation de sa soutenance

Vous avez du mal à recruter les talents de demain dans votre entreprise ? Avez-vous pensé à agir sur votre marque employeur ? Elle peut vous permettre d’attirer plus de candidats. Soigner l’image que renvoie votre entreprise est aujourd’hui fondamental. Vos salariés, vos clients, vos partenaires sont autant de personnes qui véhiculent votre image de marque. Autant d’arguments pour établir une solide stratégie pour développer, renforcer et accroître le rayonnement de votre marque employeur. Dans cet article, nous vous proposons 7 astuces sérieuses que vous pourriez mettre en place les yeux fermés.

1. Impliquer toute l’entreprise pour développer avec succès sa marque employeur

Pour une marque employeur forte et qui rayonne, toute l’entreprise doit se mobiliser. Du service marketing, à la communication, en passant par les instances dirigeantes, les managers et tous les collaborateurs en poste.

Mais il ne faut pas oublier les nouvelles recrues de l’entreprise. L’onboarding est un outil de communication à ne pas négliger pour renforcer la bonne image que celles-ci ont de vous.

Tous les acteurs qui œuvrent ensemble dans l’entreprise sont de véritables ambassadeurs de votre nom. À vous de leur donner de quoi bien communiquer pour faire parler de vous de manière efficace sur les réseaux sociaux : Twitter, Tik Tok, LinkedIn, Instagram, Facebook… Mais aussi sur la page carrière de votre site internet.

Pour ce faire, vous pouvez organiser des événements de travail fédérateurs. Comme des soirées de fin d’année, des team building ou des séminaires.

2. Améliorer l’expérience collaborateur pour renforcer sa marque employeur

Un salarié heureux et épanoui au travail est assurément quelqu’un qui véhiculera une image positive de vous.

Pour renforcer votre expérience collaborateur, travaillez la symétrie des attentions. Ce qui signifie trouver un bon équilibre entre l’importance donnée aux clients, aux utilisateurs et aux salariés.

Chaque personne de l’entreprise est importante pour sa croissance et son succès. Pour le rappeler, célébrer les succès, les objectifs atteints, et toutes les bonnes nouvelles internes qui mettent en valeur ceux et celles qui œuvrent au quotidien ensemble.

En vivant une expérience collaborateur positive, ils auront naturellement envie de partager leur ressenti avec leur entourage… Et participeront sans s’en rendre compte au rayonnement de votre marque employeur et à la bonne réputation de l’entreprise.

Bon à savoir : vos collaborateurs valorisés et chouchoutés se sentiront à leur place dans l’entreprise. L’expérience collaborateur est également un outil de fidélisation des salariés à ne pas négliger pour retenir vos talents.

3. Améliorer l’expérience candidat pour véhiculer une bonne marque employeur

L’expérience candidat, c’est le ressenti qu’aura une personne de son processus de recrutement. Elle reflète aussi la manière dont vous traitez vos salariés. Un candidat malmené n’aura pas envie d’intégrer l’entreprise. Pire, il risque d’en parler autour de lui et de dévaloriser votre marque employeur.

On ne le répétera jamais assez, travailler avec soin les étapes du recrutement est primordial.

Par exemple : 

  • Répondez aux candidatures.
  • Jouez la transparence sur tout le parcours de recrutement.
  • Groupez le nombre d’entretiens.
  • Soyez respectueux et bienveillant, que le candidat soit retenu ou non.

Gardez toujours en tête : 

  • Qu’un candidat est un potentiel client.
  • Qu’un candidat est un potentiel ambassadeur.
  • Qu’un candidat est une source de communication exponentielle.

4. Renforcer sa marque employeur avec le job dating

Le job dating est un évènement organisé dans un lieu dédié pour représenter la marque de votre entreprise et trouver de nouveaux collaborateurs. 

C’est aussi pour vous une opportunité de marketer le moment et d’en faire un booster de votre communication. In fine, de faire rayonner votre marque employeur.

Lors de cet événement, les recruteurs peuvent montrer aux candidats qu’ils se soucient de leur bien-être. Par exemple, en recueillant leur besoin.

Mais aussi travailler la proximité avec eux en organisant un after work, un atelier de mise en situation, un atelier d’intelligence collective sur une problématique donnée… Ou alors en proposant des échanges spontanés avec des salariés déjà en poste.

Autrement dit, il faut donner envie de travailler dans l’entreprise et joindre le geste à la parole.

5. Être cohérent entre ses paroles et ses actions

Travailler sur sa marque employeur c’est bien, le faire savoir c’est mieux.

Si vous faites de belles annonces pour vos salariés ou futurs collaborateurs, elles doivent être suivies d’effets. 

Un candidat qui pourra vivre ce qui lui a été annoncé lors de son embauche sera plus facilement conquis lors de sa période d’essai, qu’un candidat qui pourrait être déçu du décalage entre l’expérience candidat et l’expérience collaborateur. 

6. Investir dans des outils de marketing RH efficaces pour renforcer la marque employeur 

Pour que votre stratégie de marque employeur aboutisse, il est important que vous vous entouriez de bons outils de travail.

Il en existe de plusieurs sortes sur le marché, certains plus efficaces que d’autres.

Notamment : 

  • Votre site internet : c’est la vitrine de votre entreprise. Il permet de vous distinguer de la concurrence, de partager du contenu, de partager sur l’environnement de travail et les équipes.
  • Les réseaux sociaux : ils permettent de communiquer sur le quotidien de l’entreprise, d’interagir avec les candidats, les clients, de créer de l’engagement autour de votre marque.
  • La newsletter : elle permet de partager la culture d’entreprise, ses valeurs, de fêter les succès, de communiquer sur les projets.
  • Les sites d’offres d’emploi : ils sont le lieu pour se différencier des concurrents, personnaliser ses interactions avec les candidats et leur donner envie de vous rejoindre. Un logiciel de multidiffusion vous permettra de gagner du temps car vous ne saisirez qu’une seule fois votre annonce, puis vous la diffuserez sur plusieurs supports de diffusion en quelques clics seulement.
  • Un ATS : pour bien gérer les candidatures et optimiser l’expérience candidat. Il est utile tout au long du recrutement, de la réception des CV jusqu’à la sélection du candidat final.

7. Mettre en place des KPI pour suivre le rayonnement de la marque employeur

Pour suivre l’évolution et le rayonnement de votre marque employeur, mettre en place des KPI RH est la bonne méthode.

Ils vous permettront de mesurer les impacts de votre stratégie de marque employeur. Et, le cas échéant, de rectifier le tir si elle n’est pas concluante.

Vous pouvez par exemple suivre : 

  • Le taux de participation aux évènements de l’entreprise.
  • Le taux de turnover.
  • Le nombre de candidatures.

Pourquoi devez-vous travailler l’attractivité de votre marque employeur ?

Dans un marché de l’emploi en tension, la concurrence entre les recruteurs est intensifiée. Pour s’adapter et réussir à embaucher les meilleurs talents, les pratiques de marketing RH se sont adaptées.

Parmi elles, la stratégie de marque employeur. Cette dernière s’illustre comme l’un des vecteurs de recrutement des nouveaux candidats dans les entreprises.

Travailler l’attractivité de votre marque augmentera votre capacité à vous démarquer des entreprises concurrentes de votre secteur. Et donc, à attirer de nouveaux profils qui trouvent leur motivation dans le sens d’un projet, la transparence de la direction et les perspectives d’évolution.

À retenir sur la marque employeur et ses astuces pour la renforcer

Pour renforcer la marque employeur de votre entreprise, soyez vrai, soyez différent, soyez constant.

Plusieurs leviers efficaces vous permettent de mettre en place votre stratégie : 

  1. Impliquer toute l’entreprise au rayonnement de la marque.
  2. Améliorez sans cesse l’expérience collaborateur.
  3. Améliorez sans cesse l’expérience candidat.
  4. Diversifiez vos canaux de recrutement : le job dating est une bonne idée pour jouer la carte de la proximité.
  5. Agissez !
  6. Entourez-vous d’outils performants.
  7. Suivez vos efforts !

Outre une marque employeur dont l’attractivité ne sera plus à prouver, toutes ces astuces vous permettront aussi de travailler en parallèle la fidélisation de tous les employés déjà en poste.

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